Style et Art de vivre
L’appel a été lancé par l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et l’Unesco, à l’occasion du lancement de la campagne mondiale contre les trafics intitulée « Vous pouvez, par vos actes, nous aider à combattre les trafics », présentée au secteur du tourisme lors du Salon international du tourisme le 5 mars à Berlin (Allemagne)
Cette campagne consiste à inviter les voyageurs en tant que consommateurs à être responsables. Elle entend également faire connaître aux touristes les biens et services illicites les plus courants auxquels ils pourraient être confrontés durant leurs voyages ainsi que les indices leur permettant de reconnaître les situations éventuelles de traite d’êtres humains et de trafic d’animaux sauvages, d’objets culturels, de drogues illicites et de marchandises de ... Lire la suite
Ingrédients pour quatre personnes
- 1kg de poissons salés (morue ou autre)
- tomate concentrée et tomate fraîche
- huile, ciboule, oignon, ail, persil
Préparation
Commence par plonger dans de l’eau, bien à temps, la morue coupée en morceaux. Quelques heures avant la préparation du plat, mais il faudra refaire le même exercice avec de l’eau bouillante puis laver le poisson salé. Après s'être assuré que le poisson a la bonne teneur en sel, on peut préparer la sauce tomate. Faire revenir dans de l’huile les oignons et l'ail pilé selon le goût, puis utiliser les deux sortes de tomate. Lorsque la sauce a bien prise, est un peu compacte, laisser mijoter. En milieu de cuisson, ajouter le poisson salé déjà cuit ainsi que le reste des ingrédients. Arrivé à ébullition, servir !
Astuce
Faire attention à la quantité d’eau pour la sauce tomate. On peut aussi, selon le ... Lire la suite
Ingrédients pour quatre personnes
- 1 kg de poisson chinchard (ou autre poisson de mer)
- 200 g d’aubergines vertes (variété locale)
- 2 gros oignons
- jus de citron
- poivre blanc, noix de muscade, ciboule
- 1 cube pour bouillon
- papier aluminium, sel, huile
Préparation
Commencer par laver, vider et couper le poisson en tranches. Ensuite, après avoir assaisonné le poisson, le laisser reposer pendant deux heures dans son assaisonement pour qu’il prenne bien (ou quelques minutes seulement si le temps manque). Ajouter un peu de jus de citron dans la marinade ainsi obtenue en ne laissant passer aucun pépin (qui pourrait altérer le goût par son armertume). Ensuite, couper l’oignon en lamelles et couper les aubergines comme sur la photo, sans oublier de les imbiber d'un peu d’huile pour faciliter la cuisson. Puis les envelopper dans du papier alluminium. Faire cuire ... Lire la suite
Toshiko Akiyoshi, John Beasley, Kris Bowers, Dee Dee Bridgewater, Terri Lyne Carrington, Theo Croker, Sheila E, Pete Escovedo, Roberta Gambarini, Kenny Garrett, James Genus, Roy Hargrove et d’autres artistes au talent reconnu à l’échelle internationale seront à l’honneur de la troisième édition du concert aux rythmes afro-américains le 30 avril, à l’occasion de la célébration de la Journée internationale du jazz
Cette journée est célébrée le 30 avril de chaque année par l’humanité entière. Elle vise à réunir des communautés, des écoles et d’autres groupes dans le monde pour enrichir le savoir sur l’art du jazz, ses racines et son influence. Elle ambitionne également de sensibiliser le public au rôle de la musique de jazz dans la promotion des valeurs universelles figurant au mandat de l’Unesco, à encourager et valoriser le dialogue ainsi que la ... Lire la suite
Rougui Dia ? Ce nom vous est peut-être inconnu, mais pas son histoire ! Née en région parisienne, son goût pour la cuisine vient naturellement des plats de sa mère d’origine sénégalaise, qui enchantèrent son enfance
C’est pourquoi, orientée dans l’hôtellerie à Villepinte, elle est plongée dans un univers qui la passionne et enchaîne les formations. On lui disait souvent : « Tu dois savoir que ce sera plus dur et plus long pour toi. » Et cela se prouve, car être une jeune fille noire n’est pas courant dans ce métier, c’est pourquoi elle peine à trouver un maître d’apprentissage. Mais cela ne la décourage pas puisqu’elle obtient son CAP de cuisine et son baccalauréat professionnel en 1999.
Lors des années 2000, elle est mise en contact avec Sebastien Faré, chef cuisinier dans un grand restaurant parisien. Elle gravit les échelons jusqu’à ... Lire la suite
C’est aux Dépêches de Brazzaville que la star montante de la gastronomie africaine se confie sur son parcours, son expérience et ses projets. Cette mère entrepreneuse est à l’origine du premier food-truck africain (camion adapté vendant de la nourriture) sillonnant Paris
Les Dépêches de Brazzaville : Présentez-vous en quelques mots…
Fati Niang : Je suis la fondatrice de Blackspoon. J’ai grandi et je suis née en région parisienne. J’ai fait des études commerciales et plusieurs formations pour affiner mon parcours. Étant l’aînée d’une grande famille, j’ai appris à cuisiner les plats sénégalais très tôt. Je connais les recettes sénégalaises grâce à ma mère, et c’est elle qui m’a enseigné mes premiers pas en cuisine et qui m’a donné l’envie de transmettre ce savoir.
LDB : Comment avez-vous eu l’idée du food-truck ?
Au départ, je ... Lire la suite
Les Dépêches de Brazzaville : Il y a peu d’entrepreneuriat de la mode sur le continent. Comment stimuler la création d’une industrie de la mode africaine ?
Adama Ndiaye : Je ne dirais pas qu’il n’y a pas d’entrepreneuriat de la mode en Afrique, et notamment féminin, je ne suis pas du tout d’accord. Je pense que dans le secteur de la mode, ce n’est pas l’entrepreneuriat qui manque, c’est la distribution qui fait défaut. Du coup, vous ne voyez pas les designers dans les boutiques, que ce soit en Occident ou en Afrique, mais il y a très peu de créatrices qui peuvent comme moi organiser des événements, inviter des gens… Cela représente des budgets, et il faut savoir aller chercher l’argent. Par contre, il y a pas mal de jeunes créatrices ou de jeunes marques qui se créent chaque jour, et ça, c’est de l’entrepreneuriat. Pour que notre industrie soit ... Lire la suite
Directrice générale de la société cosmétique Kibonit Beauté, elle exploite son savoir-faire pour le bon fonctionnement de sa structure. Elle répond aux questions des Dépêches de Brazzaville
Les Dépêches de Brazzaville : Comment vous êtes-vous lancée dans l’entrepreneuriat ?
Linda Ibara-Leckassy : Quand j’ai terminé mes études à Paris, je travaillais aux Galeries La Fayette. Toutes les femmes qui venaient dans ce grand magasin avaient un problème de peau. C’est à ce moment que l’idée m’est venue de monter une structure de beauté. J’ai fait un mémoire sur les problèmes de peaux noires et métisses, et le jour de ma soutenance j’ai présenté une crème que j’avais faite à base d’un produit naturel, l’huile de kolo. Ce produit fut accepté et encouragé. Pour le faire connaître, il a fallu que je le commercialise, et c’est ce que j’ai ... Lire la suite
Engagée dans une perpétuelle volonté d’éduquer, de transmettre, de léguer aux jeunes générations les vraies valeurs, la princesse Esther Kamatari a confié sa vision de la femme africaine aux Dépêches de Brazzaville
C’est une femme longiligne, à l’œil pétillant de malice, qui est venue à notre rencontre à l’heure précise, dans les locaux de la rédaction des Dépêches de Brazzaville à Paris. Son port de tête lui donnant fière allure, la fille du prince Ignace Kamatari, frère du roi Mwambutsa IV du Burundi, a été la première top-modèle noire en France. De personnalité affirmée, elle allie l’écriture, le mannequinat, la politique – elle est élue à Boulogne-Billancourt - et la formation des femmes dans divers domaines au travers de nombreux projets.
Fière de ses origines burundaises, elle exprime sa vision de la femme africaine : « Pour ma ... Lire la suite
Michaëlle Jean est haïtienne, née à Port-au-Prince en 1957. Elle fuit son pays tenu par François Duvalier, et, comme beaucoup de ses compatriotes, se réfugie au Québec. Elle y suit des études de langues (elle parle couramment le français, l’anglais, l’italien, l’espagnol et le créole haïtien) et de littérature
Parallèlement, elle se joint à un groupe de soutien aux femmes victimes de violences conjugales et contribue à la réalisation d’un réseau de refuges d’urgence dans la province québécoise. Elle coordonne un travail de recherche approfondi sur le sujet, qui donne lieu à la première enquête jamais effectuée en Amérique du Nord sur les agressions sexuelles. Michaëlle Jean se fait remarquer par les médias canadiens et devient journaliste au sein des plus grandes rédactions du pays, réalisant des documentaires engagés, traitant souvent de la ... Lire la suite