Art-Culture-Média
Peinture
Benjamin Biayenda voue un culte à la femme noire
Le fils du créateur du groupe musical « les tambours de Brazza », Jean Emile Biayenda a de qui tenir. À travers ses illustrations postées sur Instagram, le jeune peintre-dessinateur franco-congolais démontre un talent hâtif, au service de l’image de marque des femmes noires.
En foulard et jeans, aux cheveux courts, tressés ou rasé, ses dessins présentent les femmes noires sous ses formes : fines ou voluptueuses, percées ou tatouées, souffrant d’albinisme ou de vitiligo, noires ou métisses… Sur les tableaux, des tissus wax, des statuettes en bois, batiks, plantes et diverses couleurs ont bien planté le décor inspiré de l’Afrique.
Réalisées à la peinture à l’huile, les créations du jeune peintre décrivent des scènes de vie du quotidien de ces jeunes femmes afro-descendantes basées en ... Lire la suite
En prélude à la 6ème édition de la rencontre internationale de l’art contemporain, le centre tient en haleine les amoureux de l’art à travers un programme qui allie, théâtre, peinture, club de lecture et d’écriture et projections cinématographiques.
Sur le plan théâtral, une série de spectacles animée par la troupe Savorgnan Art et Culture sera offert au public le 26 de ce mois. Ces scènes tirées de la première édition du projet culturel « Deux acteurs sur scène »ont pour but de faire découvrir au public les œuvres des auteurs congolais, qui sont pour la plupart méconnus à travers des adaptations théâtrales et des lectures de leurs ouvrages.
Outre le spectacle qui se jouera le 26 août, il sera présenté à la même date du mois prochain les pièces de théâtre « Sa majesté le ventre »de Sony Labou Tansi et « Vous mourrez dans dix ... Lire la suite
Après neuf ans d’absence sur la scène musicale, la chantre congolaise, Reneta Correia, se produira le 18 août à l’espace Ma Florence à Ouenzé dans le cinquième arrondissement de Brazzaville
En prélude à ce concert qui aura comme invités la sœur Clémence Avounou et le pasteur Samuel Azou, la chantre Reneta Correia a organisé une conférence de presse à l’espace Ma Florence, en présence de ces derniers pour parler non seulement de son concert, mais surtout de présenter son deuxième album "La repentance".
«Dans cet album je demande aux gens qui ne connaissent pas la parole de Dieu qu’il est temps de se repentir, de se convertir, de donner leur vie en Jésus-Christ et de le considérer comme Sauveur et Seigneur. Car le moment est arrivé », a-t-elle indiqué.
Son premier album s’intitulait "La source de délivrance" parce que « Dieu dit-elle, est le ... Lire la suite
À l’occasion du 2e anniversaire du décès de Laurentine Milebo, les Dépêches de Brazzaville ravivent la mémoire par un témoignage d’Édouard Carrion, réalisateur du film La Rivale.
Les Dépêches de Brazzaville (LDB) : Quels souvenirs gardez-vous de votre collaboration avec l’actrice congolaise ?
Édouard Carrion (EC) : Je garde un très bon souvenir de ma collaboration avec Laurentine à la fois sur un plan artistique mais aussi humain. Lorsque nous écrivions le scénario de La Rivale alors que nous passions nos journées ensemble à écrire, le soir on trouvait le moyen de s’appeler à chaque fois qu’on trouvait une nouvelle idée. La créativité de Laurentine était impressionnante, elle avait beaucoup d’humour et nous étions très complices.
LDB : Cette œuvre cinématographique vous a-t-elle permis de vous rapprocher du continent africain ?
EC : ... Lire la suite
En résidence à Pointe-Noire au domicile de la famille Kibongui, l’artiste peintre, styliste et modéliste, Justine Émilie Madieta, alias Just Mad, s'apprête pour le vernissage de ses créations artistiques.
Près de vingt toiles faites à base de pigments naturels et d’objets de récupération sont déjà façonnées par l’artiste et plusieurs autres sont en cours de montage. Le collage et la peinture sont les différentes techniques utilisées par Just Mad qui a aussi fabriqué des sacs en raphia et d’autres objets d’utilisation courante.
Cette exposition paraît comme la renaissance de l’artiste peintre qui reprend peu à peu avec l'art après avoir traversé des moments difficiles ces dernières années. « Pendant que j’étais en tournée itinérante en 2015, ma galerie d’arts situé au centre ville a pris feu, trois ans seulement après le brasier qui a ... Lire la suite
C’est à l’occasion de la onzième édition de l’élection Miss indépendance, organisée le 13 août dans la salle des banquets du Palais des congrès de Brazzaville, sous le haut patronage de la première dame du Congo, Antoinette Sassou N’Guesso, marraine de ce concours de beauté, que Christie Massa a été élue
Pour la onzième fois consécutive l’association Lumières d’Afriques, qui ne veut pas déroger à son devoir, a magnifié la beauté en organisant une compétition de beauté mettant aux prises vingt-deux filles résident toutes à Brazzaville.
La particularité de cette soirée c’est que cette élection est consacrée à la femme ; tout a été fait en son honneur. Le thème à débattre a porté sur la violence faite à la femme. Les tenues ont été conçues par les femmes, la salle décorée par les femmes, les artistes retenues ont été exclusivement ... Lire la suite
Laurentine Milebo avait 63 ans. Il y a déjà deux ans, la scène de vie de la comédienne congolaise a affiché le mot fin dans le cœur des cinéastes.
Ce jeudi 17 août, le monde du cinéma et les cinéphiles des années 90 vont commémorer les 2 ans de la mort de Laurentine Milebo. Un triste anniversaire auquel se joindront les organisateurs de la Guinguette africaine de Suresnes. Ils vont rendre, lors de la « Journée culturelle » du 19 août, un vibrant hommage à la défunte cinéaste.
Les cinéphiles se souviennent encore de la comédienne congolaise. Sa dernière apparition était dans les films tels que « Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ? » ou encore, « Case départ ». Laurentine Milebo avait tiré sa révérence le lundi 17 août 2015, à l’hôpital de Saint-Rémy-l’Honoré dans le département des Yvelines en France.
Avec elle, nous gardons en ... Lire la suite
Le bilan à mi-parcours de ce secteur n’est pas vraiment rose. Quelques événements ratés par-ci et quelques éclaircis par-là. De faux bonds qui font penser à un bilan mitigé
Les tout premiers mois de l’année en cours sur le plan culturel, particulièrement dans les domaines de la musique et de la beauté, ont été vides de rendez-vous à l’échelle nationale. Les grands événements qui ont été organisés à de rares occasions n’ont pas satisfait les attentes des acteurs et amoureux des œuvres d’art.
L’un des plus grands rendez-vous manqué demeure la onzième édition du Festival panafricain de musique (Fespam) prévue initialement du 08 au 15 juillet puis du 19 au 21 juillet 2017.
Un communiqué du gouvernement de la République a informé l’opinion nationale et africaine que des impératifs insurmontables d’agenda ont obligé la République du ... Lire la suite
De la littérature, à la peinture, en passant par la musique, la danse, le cinéma et le théâtre, les stratégies de développement retiennent un grand nombre de facteurs : économique, social, politique et culturel. La prise en considération de ces éléments est essentielle pour la conduite de tout type de programme de croissance durable d’un pays. Mais, dans quelle mesure l’industrie culturelle est-elle prise en compte au Congo ? Quel degré d’attention devrait être accordée à cette dernière par les producteurs, mécènes et managers congolais ?
Il ne s’agit pas de spéculer autour de la question, mais d’agir. Et sur ce point, les promesses sont sans suites, les résultats ne répondent pas aux attentes des amateurs et artistes confirmés.
« Nous sommes déçus parce que les Congolais ne veulent pas nous soutenir afin de produire un festival de très haute ... Lire la suite
À quelques jours de la célébration du 57e anniversaire de l'indépendance nationale, le marché du livre s'est enrichi d'un recueil de poèmes: Le pont de l’indépendance, dont la séance de dédicace a eu lieu le vendredi dernier dans la salle de conférences du ministère de la Culture et des arts, en présence de plusieurs écrivains.
Ce livre qui vient confirmer, une fois de plus, l’attachement de cet écrivain à la vie sociale des Congolais, regroupe 26 poèmes mélancolique et tragique. C’est ce qui atteste l’usage des thèmes comme la mort, la femme, la beauté et bien d’autres." Le pont de l’indépendance" est vendu à 7.000 FCFA.
À la différence de Tchicaya Utam’si, qui fait partie de ses idoles, Raymond Loko aborde un style très simple et clair, afin de permettre à tous les citoyens lambda de comprendre ce qu’il veut dire, car « je prêche l’amour ... Lire la suite