Art-Culture-Média
Programmés d’affilée à partir de 19h00 sous la Grande Halle de l’Institut français de Kinshasa (IF), les spectacles Para Dignita et Expression du corps seront présentés successivement par les troupes Kongo Drama Company et Losanganya Dancing.
Première soirée de danse de la rentrée consacrée à la danse contemporaine, celle du 8 septembre a pour affiche deux nouveaux spectacles. C’est avec Para Dignita, la toute récente création de Fabrice Don de Dieu Bwabulamutima qu’elle sera lancée à 19h. La pièce a pris corps à la suite de deux semaines de résidence de Kongo Drama Company à l’IF avec le chorégraphe Delavallet Bidiefono, invité dans le cadre d’un atelier, fait savoir le centre culturel français. Ce spectacle censé durer moins d’une heure, soit cinquante minutes, est un duo qui met en scène le chorégraphe précité et la danseuse Lucie Kabemba.
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Organisé par l’Association Pointe-Noire dynamique (APDC), ce vernissage des œuvres du peintre Trigo Piula dont l'ouverture a eu lieu le 5 septembre au centre culturel Jean-Baptiste Tati-Loutard situé à Mpita, dans le premier arrondissement Émery-Patrice-Lumumba, a enrégistré plusieurs visiteurs.
Près d’une trentaine de tableaux de Trigo Piula ont été présentés au public relative au thème de la femme chez les Loango. S’inspirant de l’initiation de la jeune fille (Tchikoumbi) et du rôle de la femme chez les Vilis, les trente tableaux concernés par cette exposoition-vente abordent les différentes phases de la vie de la femme en pays Loango.
L’exposition relate notamment le parcours de vie intéressant de la femme Loango que l’artiste nomme le « vaisseau » à travers les étapes de la « capture », de l’initiation, de la danse, le rapport aux ... Lire la suite
Élu le 10 Juin à Pointe-Noire, le nouveau bureau du Centre national de l’Institut international de théâtre (IIT) prendra ses fonctions samedi au cours de l’assemblée générale inaugurale qui réunira les membres de cet institut culturel ainsi que les férus de l’art et de la culture.
Le bureau du Centre Congo Brazza est composé de dix membres. Il est dirigé par Yvon Wilfride Lewa-let Mandah qui a pour 1er vice-président chargé de la mobilisation nationale, Alphonse Mafoua. Le 2e vice-président chargé de la mobilisation de la diaspora est Habib Wenceslas Moukouama. Jean-Léopold Ngoulou, dit Ngoujel 1er, est le secrétaire général. Les autres instances sont constituées du chargé à la communication, Christian Moukouari, chargé des finances, Michelle Carine Bayamboudila, chargé du social et de la promotion du genre, Gerdie Desyland Ngouinda. La ... Lire la suite
France. Il reste quelques jours de septembre pour venir voir l’exposition de la 14ème Édition du Festival La Gacilly consacrée à la photographie africaine : « L’Homme-animal » et « Le Face-à-face ». Les photographies sur l’Afrique exposées à ciel ouvert, en général, et particulièrement celles sur les Sapeurs du Congolais, Baudoin Mouanda, suscitent une réelle curiosité
En partenariat avec l’entreprise Yves Rocher implantée dans la ville hôte, la petite commune du Morbihan pare ses murs, tous les étés, de photographies grand format pour le bonheur des 400 000 visiteurs selon l’estimation des organisateurs. En images, chaque année, le village de La Gacilly accueille le plus grand festival "photo" gratuit de France. Cette année, c’était l’Afrique qui était à l’honneur.
Pour l’édition 2017, depuis le 3 juin dernier, les juntistes, les ... Lire la suite
MC Solaar est revenu au-devant de la scène avec son single, Sonotone, depuis le 1er septembre. Dans la foulée, un clip de la chanson met en images le retour du pionnier du rap en français.
Au sens propre, le mot sonotone désigne l’appareil destiné à améliorer l’audition des malentendants, placé près ou dans l’oreille. MC Solar a sûrement choisi Sonotone comme titre de sa chanson de manière à amplifier les sons de son message "de quelqu'un qui a envie de retrouver sa jeunesse, qui commence à avoir des signes de vieillissement jusqu'à devoir porter un sonotone".
Dix ans après, c’est une amplification que l’auteur réfute de considérer comme autobiographique selon ses premières interviews à la presse. Ce titre, le rappeur emblématique des années 90 le signe plutôt en prélude à son album, intitulé « Géopoétique », à sortir le 3 novembre ... Lire la suite
Le guitariste, également auteur-compositeur et interprète, n’a de cesse de porter Kinshasa dans son cœur alors qu’il vit maintenant entre Paris et Montréal. Il nous est revenu à la mi-août pour la promotion de Silikoti qu’il a menée avec des vidéos de cet album sorti sous le label Yoka Music en 2014. Pytshens ne va pas en rester là, il envisage de livrer des concerts prochainement à la suite des retombées de ce come-back qu’il entend réaliser aussi avec la relance de son festival de guitare, Lindanda, et des master class. Il l’explique dans cet entretien accordé au Courrier de Kinshasa pendant son séjour kinois.
Le Courrier de Kinshasa : Comment devrait-on vous présenter à nos lecteurs, question de vous rappeler au bon souvenir des mélomanes ?
Pytshens Kambilo : Guitariste de l’émission Hot Tension à la RTNC2 il y a vingt ans, j’ai travaillé ... Lire la suite
Un panel de groupes et d’artistes musiciens prestent au stade Kokolo Copa, dans le deuxième arrondissement de Pointe-Noire, qui abrite la première édition du village du festivalier. Et le 10 septembre à partir de 17 heures, ce festival accueillera le groupe Embeudah pour un concert étincelant.
Depuis un certain temps, le groupe Embeudah est devenu une véritable référence pour les jeunes amoureux de la musique hip-hop et afro beat. Ce groupe connaît un succès retentissant sur la scène nationale et au-delà des frontières depuis la sortie de son opus « Louboutin ». Le dimanche prochain, les jeunes de ce groupe s’embarqueront dans une nouvelle aventure qui les amènera au village du festivalier dans la ville de Pointe-Noire pour une brillante prestation. Dans ce village, ces jeunes monteront sur scène pour interpréter à nouveau leur chanson ... Lire la suite
Décédé le 24 août, Séverin Nzouzi, opérateur de prise de vue à DRTV Pointe-Noire, a été conduit à sa dernière demeure le 2 septembre au cimetière municipal de Vindoulou.
Les responsables des organes de presse évoluant à Pointe-Noire, les collègues et amis journalistes, les parents et connaissances ont rendu un dernier hommage émouvant à Séverin Nzouzi. Fabrice, président du Club des reporters a, dans son mot de cirtsonstanc, loué la gentillesse et la jovialité de Séverin Nzouzi qui, de son vivant, a toujours su communiquer sa joie de vivre dans le sourire et la bonne humeur. Le destin cruel n’occultera en rien l’amour qu’il a porté sur ses proches et inversement, a-t-il ajouté. De son côté, le responsable des ressources humaines de la DRTV a salué le sens d’abnégation au travail du disparu qui, tout a long de sa carrière professionnelle à ... Lire la suite
Après sa mise sur le marché du disque le 08 juillet dernier, l’album « Le temps de l’esprit volume 2, la grande grâce », troisième opus de la soeur Belle Agniélé, est à la phase des tournages des clips. De Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC) à Brazzaville, la chantre veut présenter des vidéos de qualité au peuple de Dieu.
L’album qui jusque-là, n’était disponible qu’en deux formats, CD cristal appelé format européen et CD en carton dit CD Afrique, aura bientôt ses supports vidéo. La sœur Belle Agniélé et son groupe Le Rocher des Âges sont à la phase finale des tournages des clips. La première partie a été tournée à Kinshasa avec la maison 3 points. Sept clips y ont été tournés à savoir : Au nom de Jésus (en français et lingala) ; l’Agneau immolé (en français) ; Je t’aime Jésus (en français). Il n’y a que toi ... Lire la suite
Pendant 10 semaines, jusqu’aux délibérations du jury, Les Dépêches de Brazzaville présentent les dix romans finalistes du 16e Prix des 5 continents de la Francophonie. Le Prix sera remis le 11 octobre de 9h30 à 10h30, sur le Pavillon d’honneur « Francfort en français » dans le cadre de la Foire internationale du livre de Francfort (Allemagne)
Extrait de « Palace Café» de Anne Nicoleau Defraiteur (Belgique), éditions Tamyras (Liban) : « À la fin de la guerre de la montagne, je rentrai à Beyrouth et perdis ton frère de vue. C’était étrange de se retrouver dans cette ville sans lui : je me pensais deux mais je n’étais plus qu’un, tout seul. Qu’est-ce que j’ai fait ? Pas grand-chose : j’ai bu, j’ai dormi, j’ai fumé et n’ai émergé que quelques mois plus tard. Pistonné, je suis rentré au cinquième bureau des Forces Libanaises, un bureau ... Lire la suite
