Art-Culture-Média
Les participants à la 7è école nationale de saison sèche organisée à Brazzaville par l'Association Rosicruciene Max Heindel (ARMH) du 27 au 30 août 2016 dernier au Centre africain de réadaptation, à l’OCH Moungali 3 ont planché sur le thème : « Le Christianisme et la fraternité universelle ».
Exposant sur ledit thème, Gabriel Moukiama du centre de Dolisie a demandé à ceux qui aspirent à la vie supérieure, de prendre conscience de leur nature divine afin de travailler pour un christianisme universel dont la valeur fondamentale est l’amour désintéressé. La libération de l’homme de la croix de la matière et l’avènement de la fraternité universelle sont des idéaux auxquels la religion unificatrice, à savoir le christianisme poursuit pour l’accomplissement de l’homme par la loi tempérée par l’amour, la grâce.
Elle se démarque des ... Lire la suite
Pour marquer les 10 ans de la disparition de cet éminent écrivain congolais, la direction départementale du Livre et de la Lecture publique a organisé, le 31 août, en partenariat avec Magdalie Carine Makita, poétesse et fille aînée de l’illustre disparu, une cérémonie qui a réuni les écrivains, critiques littéraires et amoureux des belles-lettres de la ville océane.
Né le 26 mai 1954 à Dolisie, Phillipe Makita a été arraché à la vie le 31 août 2006. La cérémonie en son hommage intervient après celle du 29 juillet destinée à la célébration des 7 ans de la disparition de l’illustre écrivain Jean Baptiste Tati Loutard, un de ses pairs à qui il vouait, comme aux écrivains Sylvain Mbemba, Matondo Koubou Touré et autres, une grande sympathie.
L’hommage a été marqué par des témoignages sur l’homme de Magdalie Carine Makita et de Tchitchélé ... Lire la suite
L’annonce a été faite par le président de la Fédération congolaise des clubs, centres et associations de l’Unesco (Fecasu), et vice-président de la Confédération africaine des clubs Unesco, Jules Charles Kouba, lors de sa visite au siège de ce club, le samedi 27 août dernier.
Organe de coordination, la Fecasu a pour but d’encadrer les jeunes, de les façonner et de les éduquer à organiser leurs clubs. C’est dans ce contexte que son président et sa secrétaire sont allés voir comment les jeunes s'organisent au sein de School family. En effet, ces jeunes ont manifesté le désir de faire partie de la Fecasu. Or, dans la démarche, les responsables de la Fecasu mènent une petite enquête préalable, notamment en cherchant à savoir comment les jeunes se retrouvent, comment ils se réunissent, s’organisent et dans quel environnement ils travaillent.
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Toute la nation a eu un regard très particulier sur la crise qui a secoué l’Union des musiciens congolais (UMC). C’est pourquoi, après son assemblée générale extraordinaire tenue le 8 août à Brazzaville, cette association à caractère culturel a présenté son nouveau bureau exécutif à madame le conseiller du chef de l’Etat à la culture et aux arts, Lydie Pongault.
Organisation non gouvernementale (ONG), l’UMC est une force de proposition qui vis-à-vis des pouvoirs publics pose les problèmes des artistes de manière disciplinée. Sa création est née du constat selon lequel, toutes les structures avaient un syndicat, Il était donc incompris que les artistes ne puissent pas en avoir. C’est donc cette pensée qui a inspiré ses pères fondateurs, Auguste Fall, Freddy Kebano, Michel Boyimbanda, Locko Massengo, Edo Ganga…, a créé en 2013 l’Union nationale ... Lire la suite
La troupe théâtrale « Les Pétroliers » était sur les premières marches du festival de théâtre de Brazzaville (Fethéb). Sa comédienne, Préférée Banzounzi, a remporté le trophée de meilleur interprète d’expression féminine. Rentrée fraîchement de Brazzaville, le groupe a présenté, le 31 aout, ce trophée à Fabien Obongo, directeur départemental des Arts et des Lettres de la ville océane.
Cette distinction a permis à la famille culturelle de Pointe-Noire d’être à l’honneur. Et comme tout succès se doit être célébré et encourager, le directeur départemental des Arts et des Lettres de Pointe-Noire, Fabien Obongo, a félicité la troupe théâtrale Les Pétroliers pour ce trophée mérité.
Une manière pour lui de promouvoir le théâtre mais également d’encourager les jeunes comédiens afin de leur défricher le terrain pour embrasser une ... Lire la suite
L’humoriste lushois a fait un triomphe aux 48heures du rire. Il était du reste carrément le seul à avoir joué deux fois de suite, le samedi 20 et dimanche 21 août, comme pour répondre à la demande du public qui le réclamait après son premier show où il s’est plu à imiter feu Mobutu, Joseph Kabila, Tshisekedi, Vitale Kamerhe, le Cardinal Mosengwo sous les ovations d’un public conquis. Aux Dépêches de Brazzaville, il révèle avoir pourtant éprouvé une sacré frousse avant sa montée sur la scène dont il a été le grand favori et a adoré à la fin.
Les Dépêches de Brazzaville : Si on devait encore vous présenter aux Kinois, que diriez-vous ?
Marco Mbayabu : Je suis Marco Mbayabu, un humoriste congolais résidant dans le Haut-Katanga, une province du sud de la RDC. J’ai presque une dizaine d’années de carrière dans l’humour et je suis beaucoup plus ... Lire la suite
Compté parmi les hôtes des 48 heures du rire, l’évènement du mois présenté comme une version soft du Festival international d'humour de Kinshasa, Toseka, réservé aux artistes congolais, l’humoriste venu tout droit de son Lubumbashi natal a égayé le Théâtre de Verdure. Troisième à se produire sur la scène, le 21 août, après Sol-Rigo et Jonathan de Goma, il a dit son bonheur d’avoir réussi à faire rire la population de Kinshasa réputée plutôt exigeante.
Les Dépêches de Brazzaville : Comment peut-on vous présenter à nos lecteurs ?
Benjamin Kahitare : Je m’appelle Benjamin Kahitare. Je suis ingénieur informaticien mais je fais la comédie. Mon grand-frère a fait le droit, mais il est quado (réparateur de pneus), mon oncle a fait les maths, pour l’instant il est cantonnier, on s’en fout !
L.D.B : C’est votre phrase fétiche, l’introduction ... Lire la suite
L’annonce a été faite par le président de la Fédération congolaise des clubs, centres et associations de l’Unesco (Fecasu), et vice-président de la Confédération africaine des clubs Unesco, Jules Charles Kouba, lors de sa visite au siège de ce club, le samedi 27 août dernier.
Organe de coordination, la Fecasu a pour but d’encadrer les jeunes, de les façonner et de les éduquer à organiser leurs clubs. C’est dans ce contexte que son président et sa secrétaire sont allés voir comment les jeunes s'organisent au sein de School family. En effet, ces jeunes ont manifesté le désir de faire partie de la Fecasu. Or, dans la démarche, les responsables de la Fecasu mènent une petite enquête préalable, notamment en cherchant à savoir comment les jeunes se retrouvent, comment ils se réunissent, s’organisent et dans quel environnement ils travaillent.
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L’âme et l’esprit de Rhode Bath-Schéba Makoumbou tapisseront les murs de l’IFC au Congo tout le long du mois d’octobre.
Alors qu’elle vient de fêter ses 40 ans le 29 août dernier, l’artiste Rhode Bath-Schéba Makoumbou est attendue au Congo. Elle disposera à partir du 5 septembre, de près d’un mois pour préparer sa prochaine exposition à l’Institut Français. Les peintures et sculptures de l’exposition « Temps présent » seront les attractions de la rentrée, du 5 au 28 octobre, avec un vernissage prévu le 4 octobre.
L’entrée de Rhode Bath-Schéba Makoumbou dans l’art remonte à sa tendre enfance. C’est auprès de son père, David Makoumbou lui-même peintre, qu’elle commence son initiation à la peinture. Au fur et à mesure, son coup de pinceau prolonge son observation des us et coutumes de la femme africaine. A travers ses travaux, ... Lire la suite
L’artiste comédienne Préférée Banzouzi a été distinguée à l’occasion du Festival international de théâtre de Brazzaville (Fithéb) tenu du 17 au 21 août.
Interrogée sur les raisons du choix de sa personne sur cette distinction, l’artiste Préférée Banzouzi a expliqué que cette distinction constitue à la fois un honneur et un privilège pour sa carrière et en sa qualité d’artiste féminin. Pour elle, le choix de sa personne n’était pas du tout aisé parce que, pendant cinq jours, le public Brazzavillois et les membres du jury étaient face à plusieurs talents masculins et féminins. « J’invite les décideurs nationaux à prêter un peu plus d’attention sur la pratique du théâtre au Congo. La majorité des femmes congolaises devraient rejoindre le monde du théâtre en vue d’augmenter leurs effectifs dans la pratique de cet art. L’art n’a ... Lire la suite