Art-Culture-Média
Humoriste, comédien, producteur de spectacles, Jamel Debbouze vient de sortir en salle, son premier film en tant que réalisateur. Intitulé « Pourquoi j’ai pas mangé mon père », ce long métrage d’animation raconte l'histoire d’un jeune simien repoussé par les siens.
Fils aîné du roi, le jeune simien Édouard est jugé trop chétif pour prétendre au trône. Son père lui préfère son frère jumeau, le robuste Vania, et demande que l’héritier légitime soit éliminé. Pour son premier film, Jamel Debbouze signe une fresque qui met en scène une tribu préhistorique. Le film est la libre adaptation de « Pourquoi j’ai mangé mon père », roman de l’Anglais Roy Lewis publié en 1960. On retrouve dans le film le génie comique de Jamel. Dès les premières images, le personnage d’Édouard nous rappelle Jamel Debbouze, on y retrouve les répliques, les ... Lire la suite
L’Adam Larson Quartet se produira, en compagnie de vingt jeunes musiciens kinois, le 12 avril, à 16h au réputé hôtel Apocalypse 22 longeant le Boulevard Lumumba au niveau du quartier 1 Sans-fil.
Le concert organisé par la Polyv’ Art, plate-forme des artistes, en partenariat avec l’ambassade des États-Unis, se tiendra quelques heures à peine après un atelier qu’animera le groupe de jazz américain. En effet, les 11 et 12 avril, l’Adam Larson Quartet assurera une formation en faveur de vingt jeunes musiciens défavorisés en vue de renforcer leurs capacités musicales. Il livrera ensuite un concert jazz en leur compagnie, question de contribuer à la promotion de ces jeunes talents. Ce que Polyv’ Art et l’ambassade américaine conçoivent aussi comme une manière de « favoriser les échanges culturels entre les communautés et, par-delà, faire découvrir le ... Lire la suite
L’année 2015 marque le vingtième anniversaire de la disparition de Sony Labou Tansi l’un des plus grands écrivains africains, dramaturge, metteur en scène et responsable de troupe. Il fut également l’une des plus grandes voix de la francophonie. Pour commémorer ce triste anniversaire, les comédiens Jean Felhyt Kimbirima et Juliette Laurent, présentent le spectacle « Amour quand tu nous prends » dans le cadre du projet Sony Tour 2014.
La tournée de cette création a débuté à Pointe Noire du 2 au 8 mars, et s'est poursuivie à Douala du 15 au 22 mars, à Malabo du 22 au 30 mars. Brazzaville l’accueillera du 8 au 13 juin prochain, avant qu’elle ne soit présentée en octobre à Paris au centre Wallonie de Bruxelles. Ce projet consiste en effet à organiser une série de manifestations, de rencontres, des représentations autour de l’œuvre de Sony ... Lire la suite
La banque a comparu, le 6 avril, devant le Tribunal de commerce de Kinshasa pour répondre au sujet de la non-exécution de l’ordonnance Mu 406 se rapportant à la saisie attribution du 2 février 2015 pratiquée sur le compte de l’entreprise de téléphonie susmentionnée.
« L’assignation dont fait l’objet actuellement la Banque commerciale du Congo (BCDC) entre dans le cadre du procès qui nous opposait à Vodacom pour l’œuvre Vodamiss, sous-titrée miss Vodacom », a dit aux Dépêches de Brazzaville Charly Kadima. Ce dernier a rappelé que la partie adverse avait perdu le procès en appel et qu’un arrêt exécutoire a été rendu à cet effet le 26 décembre en sa faveur. Seulement, au moment de l’exécution de l’arrêt de la Cour d’appel, il affirme : « Vodacom a interféré en contestant les exploits instrumentés par le Tribunal de commerce de ... Lire la suite
L’avant-première du film a eu lieu le 10 mars à Bruxelles et le documentaire sera diffusé le 11 avril sur TV5 Afrique.
« Rumeurs du lac » a été réalisé par Wendy Bashi, journaliste d’origine congolaise. Dans ce film de 52 minutes, elle explore les profondeurs des eaux du Kivu remplies de secrets, de mythes légendaires : apparitions de sirènes, noyades inexpliquées ou encore poissons tueurs. Le film aborde également la question des gigantesques quantités de gaz méthane contenues dans le lac Kivu qui font de ce dernier à la fois une richesse et un danger potentiel. Personnage principal du film, le lac Kivu est jalonné d’histoires racontées par les pécheurs qui en maîtrisent le fonctionnement. Ils en connaissent les secrets, les dangers, les richesses et les légendes. Entre narration et images contemplatives, le documentaire invite à un voyage dans le ... Lire la suite
Paru aux éditions L’Harmattan Congo, cet ouvrage de 135 pages préfacé par Émile Gankama, journaliste et écrivain, est segmenté en quatre actes. C’est une pièce de théâtre qui illustre beaucoup de problèmes, notamment ceux liés à la sorcellerie qui engendrent les conflits de génération dans les villages congolais en particulier et africains en général.
Il est une évidence qu’au Congo et en Afrique, il n’y a pas de mort naturelle tout comme il n’y a pas aussi de réussite naturelle, écrit l'auteur dans Tout sauf ça…. Ces problèmes de société sont illustrés dans cet ouvrage à travers le comportement de l’acteur principal qui est Antoine. C’est une histoire plus ou moins proche de la réalité qui se passe dans le village Otsendé. Et toute la génération de cette époque avait intériorisé cette considération. C'est ce qui explique les ... Lire la suite
L’artiste peintre congolaise Rhode Bath-Scheba Makoumbou expose du 3 avril au 11 juin au restaurant Inzia à Bruxelles sur le thème Congo Art Témoin, en présence de nombreux invités et de Willy Decourty Bourgmestre d’Ixelles.
Environ cent cinquante personnes participent à ce vernissage dont les visiteurs étaient surpris par les trente-trois œuvres. Au menu des débats qui vont meubler cette exposition : la signification des différentes créations que l’artiste puise dans les activités sociales de la femme africaine ; la disparition de son père David Makoumbou qui était à la fois son mentor. « J’ai eu beaucoup de contacts et de questions sur mes œuvres. Cela prouve que les gens sont de plus en plus attentifs à ce que je fais et je ne peux en tirer que de la satisfaction », a déclaré Rhode Bath-Schéba Makoumbou.
Rhode Bath-Schéba Makoumbou a été ... Lire la suite
À la faveur de la célébration du cinquantenaire du film congolais, le Centre culturel Jean BaptisteTati-Loutard organise du 21 au 25 avril la semaine du cinéma congolais. Une activité qui va mettre en lumière le 7e art congolais à travers les différentes manifestations prévues à cet effet.
L’activité est organisée en partenariat avec la Société de production de films Inzo ya Bizizi du cinéaste Rufin Mbou Mikima. S'y est associé le Clap Congo de Claudia Haidara Yoka. Objectifs : emmener le public à découvrir et consommer les films congolais, intéresser les réseaux de distribution afin que ces films soient diffusés sur les chaînes de télévisions locales et câblées. Un prétexte pour sensibiliser les producteurs et mécènes à s'intéresser à ce secteur dans lequel le Congo peine à s'affirmer.
« 50 ans de cinéma congolais, quel bilan ? »
C'est ... Lire la suite
Les deux spectacles programmés ce 8 avril à 19 heures à la Halle de la Gombe sont offerts par les lauréats Visa pour la Création danse 2014, Marcel Gbeffa, Fana Tshabalala et Thulani Chauke.
Les trois artistes vont investir la scène de la Grande Halle « pour une soirée dédiée à la créativité de la danse contemporaine en Afrique », annonce l’Institut français (IF). Le public va découvrir le Béninois Marcel Gbeffa à l’œuvre dans Derrière le rideau et le duo Sud- africain Fana Tshabalala- Thulani Chauke dans Between us.
Les deux performances vont chacune aborder des sujets spécifiques. Dans le premier spectacle, fait savoir l’IF, l’artiste béninois « évoque les affres de la création, l’engagement et l’envie de tout lâcher, la volonté et l’envie de disparaître ». Dans le second qui mettra sous les projecteurs les deux Sud-Africains ... Lire la suite
Nominée avec quatorze autres cinéastes, la réalisatrice d’origine congolaise a eu le privilège d’être l’une des deux lauréats du prix belge offert le 4 avril à Louvain.
Sur la page de son compte Facebook, Monique Phoba souligne non sans fierté que le prix reçu le week-end dernier est « remis chaque année pour encourager deux artistes méritants, ayant porté à son pinacle la culture africaine l’année écoulée ». À ses yeux, l’Artist Award 2015 décerné par Afrika Film Festival « couronne des efforts continus depuis cinq ans en faveur du court métrage Soeur Oyo ».
Du reste, la première fiction de la cinéaste venait tout juste de participer à la 24e édition du Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou, le célèbre Fespaco, qui s’est tenu du 28 février au 7 mars sur le thème « Cinéma africain : production et diffusion à l’ère du ... Lire la suite