Art-Culture-Média
La célébration du « Régiment immortel » et le concert donné par le Chœur Sanctus ont été les activités organisées, le 9 mai au Centre culturel russe (CCR) de Brazzaville, pour célébrer le 73e anniversaire de la victoire dans la grande guerre nationale, en présence de l’ambassadeur de la Fédération de Russie au Congo, Valery Mikhaylov.
Lançant les activités, l’ambassadeur de la Fédération de Russie a précisé que le 9 mai, les Russes célèbrent l’une des fêtes principales, la Journée de la victoire, la Seconde Guerre mondiale ayant été une expérience extrêmement pénible pour tout leur pays. La guerre a touché le destin de chaque famille, laissant des traces indélébiles dans la vie de ceux qui ont enduré ces rudes années, a-t-il souligné.
« Chers amis, tous avec vous, nous honorons la mémoire de ceux qui ont forgé cette victoire : ... Lire la suite
Dénommée « Soli solo »-danse, la soirée qui aura lieu le 12 mai dévoilera l’univers de trois créateurs qui ont marqué le paysage chorégraphique congolais, à savoir Peper Mayindou, Juhvet Badinga et Patrick Lelo.
La soirée de la création chorégraphique congolaise permettra aux Ponténégrins de découvrir cette forme de création solitaire. Trois créateurs transmettront leur vision pour donner vie à un spectacle qui restera à jamais gravé dans la mémoire de ceux qui y prendront part. Au-delà de leurs inspirations respectives, ces trois soli mettent en exergue la relation de la lumière et du corps en mouvement, qui s'exprime par le geste, l’intention, le regard et le silence.
Dans le premier solo « Au cœur de l’enfer, je m’exprime », Peper Mayindou, artiste danseur, acrobate, comédien et cinéaste, retrace les états qui l’habite dans une danse ... Lire la suite
La capitale sénégalaise connaît une frénésie culturelle avec le démarrage, le 3 mai, de la treizième édition du rendez-vous de l'art africain contemporain, qui se poursuivra jusqu’au 2 juin.
La nouvelle édition a été lancée, comme les précédentes, par le président sénégalais, Macky Sall. Dédiée à la créativité du continent africain, la Biennale Dakar 2018 est placée sur le thème « L'heure rouge » tiré de la pièce « Et les chiens se taisaient » d'Aimé Césaire. « L'heure rouge » est perçue comme le moment de l'accomplissement et de l'éveil, qui appelle à une Afrique nouvelle.
Au cours de cette manifestation, le Grand Prix Léopold-Sédar-Senghor a été décerné à la photographe franco-béninoise Laeila Adjovi. Celui de la diversité, attribué par l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et doté de quinze mille euros (environ ... Lire la suite
La grande première congolaise du film tourné non loin de Kolwezi va lancer, ce 10 mai à 19h, à la Halle de la Gombe, la seconde édition de l’évènement cinématographique organisé en trois semaines par le pôle Eunic-RDC, sous la coordination de l’Institut français de Kinshasa (IFK).
Grand Prix de la semaine de la critique à Cannes, en 2017, ce n’est donc pas par hasard que la réalisation du Français Emmanuel Gras est programmée à l’ouverture de cette édition 2018. Et qui plus est, cette première projection est prévue en sa présence. Par ailleurs, une rencontre est programmée avec le réalisateur le lendemain de la première soirée du festival. Elle s’inscrit dans le cadre des rencontres et master-classes animées par les réalisateurs européens et congolais présents au festival, à destination des étudiants et professionnels du secteur audiovisuel.
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L'événement aura lieu, le 7 juillet, à la grande verrière sur le thème « Le Festival des chefs », et mettra à l'honneur dix-neuf professionnels de la gastronomie africaine.
We Eat Africa, selon les organisateurs, est le rendez-vous des acteurs du marché de la gastronomie africaine (Chefs, cuisiniers, entrepreneurs, marques culinaires, blogueurs...) et des passionnés de cuisines africaines qui y trouveront une opportunité de se rencontrer, découvrir des expertises, des expériences, des produits et des activités. Le festival sera rythmé par des dégustations, des conférences, des animations et des ateliers culinaires, avec la crème des professionnels de la gastronomie africaine.
Les visiteurs découvriront le temps d’une journée, des spécialités culinaires de douze pays d’Afrique présentées par des chefs originaires de ces pays, à savoir Christian ... Lire la suite
Le rappeur va livrer son concert au Chapiteau Planète J, le 11 mai, à la date anniversaire de la mort du roi du reggae dont il est l’un des fans inconditionnels.
En répétition depuis quelques semaines déjà chez la Pina, Ntoto Mabiala Bienvenu, alias NMB la panthère, qui se prépare à faire un come back mémorable sur la scène de Kinshasa, précise que « tout va bien jusque-là » . Pas vraiment étonnant qu’il y revienne à l'occasion de la soirée en hommage à son idole, Bob Marley. En effet, c’est une reprise personnelle de No woman no cry, ce tube intemporel et transgénérationel du roi du reggae qui fit sa renommée à Kinshasa. Venu de son Matadi natal, le rappeur avait justement séduit les Kinois au son de son fameux Woman no cry où il avait rapé en yombe, sa langue maternelle. C’est donc vraiment à dessein que NMB a choisi de faire coïncider son come ... Lire la suite
La première édition du salon des savoirs culinaires a été lancée en partenariat avec l’Institut national de recherche agronomique, le 5 mai, à l’Institut français du Congo de Brazzaville, sur le thème « Valorisons nos mets et produits alimentaires locaux ».
Organisée sous le patronage de Martin Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, ministre de la Recherche scientifique et de l’innovation technologique, la première édition avait pour but de permettre aux acteurs du domaine de réfléchir à la meilleure façon de vulgariser et de sauvegarder l’art culinaire congolais, de promouvoir la création culinaire ainsi que l’éducation nutritionnelle.
L’art culinaire congolais, pense Mildred Benedith Moukenga, présidente de l’Association femme modèle, est absent du paysage culinaire mondial. Pour elle, les produits du terroir sont une grande diversité. ... Lire la suite
Le 4 mai, le slameur a sorti le clip de son dernier single, "Les années Zaïre". Découvert par le grand public au travers de sa précédente vidéo, "Je te présente Kinshasa", décrite comme une carte postale sonore de la capitale. Le soldat du slam ou encore l’afroslameur, comme il aime à se faire appeler, a créé une sorte de nostalgie auprès des Kinois de sa génération à qui il a proposé une promenade allant de la Kinshasa de son enfance à celle d’aujourd’hui. Dans "Les années Zaïre", il s’offre une nouvelle escapade dans le passé dont il a bien voulu partager les contours au travers de cette interview exclusive avec Le Courrier de Kinshasa, à quelques heures de sa sortie suivie de près par ses fans.
Le Courrier de Kinshasa (L.C.K.) : Que répondriez-vous à qui vous qualifierait de grand nostalgique ?
Yekima de Bel’art (Y.B.A.): Grand nostalgique ... Lire la suite
L'activité sera organisée à partir du 10 mai à Pointe-Noire, à l’occasion de la commémoration du cinquantième anniversaire du mouvement estuduantin de mai 1968 à Paris, en France.
L'exposition de photographies prises par Philippe Gras pendant les événements de mai 1968 est un témoignage de cette époque qui relève à la fois de l’histoire et du mythe. Ces photographies retracent les fameuses manifestations parisiennes qui ont eu lieu au printemps de cette année-là.
Philippe Gras faisait partie de ces photographes qui étaient sur le devant de la scène et qui, par leur courage, avaient su saisir non seulement l’instant et le geste mais également le signe et le sens de cette période d’innovations et de contestations.
L’abondance de documentation sur ce sujet pourrait laisser imaginer un déjà-vu, mais le reportage photographique de Philippe Gras se ... Lire la suite
Madvy Dusty Kiemba, designeur congolais et créateur de la marque Etienne Eusty, a présenté sa nouvelle collection le 5 mai à Paris, capitale de la mode.
Une mode urbaine, gaie et sexy. Etienne Eusty, de son vrai nom Madvy Dusty Kiemba, a décliné ses gammes devant le public parisien lors de la présentation de sa nouvelle collection printemps-été. A peine 24 ans, le jeune couturier congolais de la diaspora a créé, il y a déjà trois ans, sa marque « street chic », baptisée en hommage à son grand-père Etienne. « J’ai toujours aimé m’habiller de façon à être différent des autres », confie-t-il.
Une touche d’originalité revendiquée qu’il met désormais au service des clientes et clients de son label, inspiré des codes du sportswear. « Tous mes modèles sont d’abord des créations que j’aime particulièrement », affirme Madvy Dusty Kiemba. ... Lire la suite