Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Ferréol Gassackys
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Jean Kernaïse Mavoungou, docteur en finance de marché, directeur
- Idées-forces - Clotilde Ibara
- Analyse - Lucien Pambou,économiste, professeur d'économie et de sciences
ReculVendredi 26 Juillet 2013 - 9:47 Les débats qui se sont déroulés cette semaine à Brazzaville dans différents cadres et avec des personnalités de premier plan venues de différents continents ont confirmé que l’Afrique est perçue désormais comme le monde sur lequel il convient de miser. Mais ce qu’ils n’ont pas précisé c’est le regard sans indulgence que l’Afrique porte, elle, sur le monde émergé, autrement dit sur les puissances qui tenaient jusqu’à présent le haut du pavé et qui devront, demain, lui faire une à la mesure de son importance réelle. Résumé en quelques mots qui sembleront trop brutaux à beaucoup ce regard est le suivant :
Conclusion paradoxale d’une semaine de débats et de discussions: l’Afrique ne peut compter que sur elle-même pour résoudre ses problèmes et accélérer son émergence. A méditer, n’est-il pas vrai ? Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) |