Art-Culture-Média
Dans l’optique d’accompagner le neuvième art local, la société de production française organise, en partenariat avec l’Institut français, la Trust Merchant Bank et l’Espace Texaf Bilembo, une résidence baptisée « Les Bulles de la Ruche » depuis le 9 novembre à la Halle de la Gombe à l’intention de quatre bédéistes issus de quatre provinces du pays.
Confortée par la belle expérience tentée avec l’album Mbote Kinshasa !, une adaptation en bande dessinée (BD) du court métrage Debout Kinshasa !, la société de production cinématographique et audiovisuelle française vient de se lancer un nouveau défi. Bien plus ambitieux que le premier projet, le nouveau qui vient d’être amorcé depuis quelques jours est plutôt noble comme l’a annoncé Sébastien Maître. C’est, en effet, la veille du lancement de la résidence Les Bulles de la Ruche, le 8 ... Lire la suite
Le single de l'artiste musicien prépare la sortie prochaine de son opus de neuf titres intitulé «Black Viking».
Chanté en français, en anglais et en Kituba sous le rythme dancehall, African woman est un morceau dans lequel Big Tyger dénonce et fustige le comportement déviant d’une femme africaine qui brille par des mauvais exemples. En véritable moralisateur, il distille de précieux conseils à cette dernière et ses congénères à tourner à jamais le dos aux antivaleurs tant décriées dans la société.
De son vrai nom Paul Christ Moubamou, Big Tyger est né le 3 septembre 1993 à Brazzaville. Très jeune, il est bercé par le rythme hip hop et fait des scènes comme danseur au sein du groupe Dance For Me qu’il intègre en 2011.
Big Tyger caresse alors l’ambition de faire carrière dans le rap. Il intègre pour cela le label congolais Belle image Music (BRM). ... Lire la suite
L’écrivain algérien, présenté comme l’un des plus grands auteurs africains encore en vie, est visiblement l’hôte de marque de la cinquième édition du festival kinois organisé sur sept sites et qui reçoit une quinzaine d’auteurs de cinq pays francophones du 14 au 18 novembre.
C’est avec un bel entrain que le directeur délégué de l’Institut français (IF), Samuel Pasquier, a fait la présentation de Mohammed Moulessehoul, plus connu sous son nom de plume (pseudonyme composé des deux prénoms de son épouse), face aux médias le 8 novembre. « Nous saluons la présence de Yasmina Khadra qui est aujourd’hui l’un des plus grands auteurs africains vivant, édité dans de dizaines de langues et ayant vendu des centaines de milliers, même plus d’un million d’exemplaires », a-t-il dit pour commencer. Et d’ajouter : « C’est à ce jour un des auteurs ... Lire la suite
La France, sa langue, sa littérature et ses débats enflammés : pour lutter contre les inégalités entre femmes et hommes, certains veulent révolutionner l'écriture. Un "terrorisme intellectuel" et un "péril mortel" pour ceux qui s'y opposent.
"Les lecteur.rice.s dévorent des romans et des nouvelles passionnantes." Les 275 millions de francophones dans le monde devront-ils s'habituer à ce type de phrase en forme de morse égalitaire ? La querelle en tout cas agite la France au moment où la question du harcèlement et des abus sexuels domine l'actualité mondiale.
Certains groupes féministes prennent aujourd'hui la vague pour pousser leurs feux. Si la féminisation des noms de métiers s'est au fil des ans répandue (un processus encore en cours), le débat a changé de dimension avec l'affaire de "l'écriture inclusive" qui a éclaté en septembre quand le quotidien Le Figaro ... Lire la suite
Le best-seller de Guy-Lambert Santimi, édité par "Monde nouveau Afrique nouvelle", a déjà retenu l'attention de l’Association des éditeurs africains d’Europe (dont le siège est à Paris, en France), éblouie par son contenu riche en enseignements.
Pour un coup d’essai, le livre se révèle plutôt être un véritable coup de génie. Volumineux avec 292 pages, il a été préfacé par le député fédéral belge, Louis Laurent. L’ouvrage est, d’ailleurs, en instance d’être primé par l'Association des édieteurs africains d'Europe. Entre un Sénégalais et un Camerounais également nominés, Guy-Lambert Santimi paraît réunir tous les atouts pour sortir victorieux de ce challenge à trois.
La qualité et la pertinence de ses analyses qui survolent un bon nombre de pays africains dont la RDC, la République du Congo, le Gabon, le Niger, le Nigeria, le Kenya, le ... Lire la suite
Todd Philip Haskell s’est dit ravi, le 10 novembre à Brazzaville, après avoir admiré les objets d’arts africains que renferme le lieu de mémoire.
« C’est une opportunité de prendre connaissance des richesses de la culture du Bassin du Congo, c’est vraiment impressionnant. Ce musée a une collection très intéressante », a indiqué l’ambassadeur.
Amoureux de l’art contemporain, Todd Philip a été impressionné par les objets d’art des différents pays africains exposées dans ce musée. « J’apprécie bien toutes les œuvres d’art des artistes modernes qui relatent des scènes de vie quotidienne, c’est très captivant », a-t-il déclaré.
Le diplomate américain a, par ailleurs, encouragé le travail des artistes dont les toiles et sculptures ancestrales montrent la richesse culturelle d’un pays. « Les artistes doivent continuer à faire leur ... Lire la suite
11 novembre 2007- 11 novembre 2017, voici 10 ans que disparaissait la première plus jeune écrivaine du Congo des suites d’un cancer. Les Dépêches de Brazzaville reviennent sur les derniers témoignages de Calissa Ikama qui ne souhaitait qu’une chose : qu’on trouve un jour un vaccin contre cette satanée maladie, le cancer.
Pendant les grandes vacances 2006, plus précisément en août, la petite Calissa Ikama, alors élève en classe de 4e et plus jeune écrivaine du Congo, se rend en Espagne et en France pour un séjour. Malheureusement, à l’orée de son retour au pays qu’elle a tant aimé, elle sent un malaise. Lorsqu’on l’examine, on découvre qu’elle est atteinte d’un cancer.
Dès lors, la famille décide qu’elle reste en France pour un traitement approprié. Après quelques interventions chirurgicales à l’hôpital Robert-Debret, l’Institut ... Lire la suite
Pendant son martyr qui a duré quasiment quatorze années, Calissa Ikama a accordé trois interviews à sa maman par le biais de l’Internet. Les propos pour lesquels certains révèlent une vraie guerrière ont été recueillis par Mireille Diane Mandello. Dans ces propos, en effet, on ne perçoit que l’espoir et l’optimisme. La toute dernière interview a eu lieu le 26 juin 2007. Voici l’intégralité des deux dernières cumulées.
Question (Q) : S’il faut faire un retour en arrière sur ton enfance, te souviens-tu des moments passés avec ton père et ta mère ?
Calissa Ikama (CI) : Oh, en regardant les photos de mon enfance, des images reviennent mais c’est flou comme un flash ! Mais il y a une chose que je m’en souviendrais toujours, le jour où mes parents se sont séparés. Ma mère s’en allant dans un taxi avec ses affaires me promettait : je reviendrai, je ... Lire la suite
« Je suis vraiment disponible et travaille 24h sur 24 sur le maquillage », a affirmé aux Dépêches de Brazzaville la Make up artist. Maquilleuse à plein temps pour les agences de publicité, les Fashion weeks, les mariées et pour les cérémonies de soirées, elle réalise également des ateliers de maquillage et fait partie d’un groupe WhatsApp où elle partage sur différentes tendances et problèmes du maquillage. Ce, malgré qu’elle soit attachée commerciale d’une scierie. Lors de cette interview accordée à la Beauty Party tenue le 28 octobre à l’Espace Bilembo, elle a insisté sur le soin de la peau comme base d’un maquillage réussi.
Les Dépêches de Brazzaville : Comment devrait-on vous présenter à nos lecteurs ?
Patricia Luamba : Je m’appelle Zia Patricia Luamba. Je suis Make up artist, parce que je n’ai pas étudié le maquillage, je me suis ... Lire la suite
La jeune coach capillaire connnaît un sacré bout sur l’entretien des cheveux naturels, c’est sa spécialité. Aussi conseille-t-elle l'hydratation à toutes les dames qui veulent avoir des cheveux naturels doux et brillants. Elle a commencé à donner des conseils utiles pour mieux s’y prendre avec une chevelure crépue en créant la page Facebook Nappy Care. Elle propose, dans celle-ci, des astuces, c’est le succès ! Elle aligne à ce jour presque 5 000 like et 200 abonnés sur Instagram et partage aussi ses petits secrets lors des ateliers capillaires comme celui au cours duquel Le Courrier de Kinshasa l’a rencontrée, à la Beauty Party du 28 octobre au jardin de l’Espace Bilembo.
Le Courrier de Kinshasa : Pourrait-on savoir comment vous en êtes arrivée à faire du coaching capillaire ?
Charlotte Kabamba : Je n’ai pas honte de dire que j’ai commencé à ... Lire la suite