Art-Culture-Média
La projection intégrale de la saison 2 de Bana Boul est prévue ce dimanche 17 juillet à 15h00 dans la salle Monalyse située en face du vélodrome de Kinshasa. Le droit d’entrée est fixé à 2 500 Fc. A défaut de se procurer d’avance les billets à Kintambo, au numéro 13 de l’avenue Banana, les Kinois pourront les acheter au lieu même de la projection.
Le réalisateur Hallain Paluku invite les Kinois à une dégustation sans modération de son nouveau cocktail de rire. De l’humour concocté avec des ingrédients authentiques du quotidien kinois servi par les deux enfants terribles Dadou et Pitsho. La descente en pleine cité des deux inséparables espiègles est organisée dans le but d’aromatiser la journée dominicale d’instants uniques remplis de bonne humeur pour les vacanciers mais pas que. En effet, il garantit que le menu de ce dimanche est préparé de sorte ... Lire la suite
Ils le feront sur le thème « Ensemble avec Jésus-Christ c’est toujours possible » le dimanche 24 juillet prochain au Centre de formation et de recherche en art dramatique (Cfrad).
L’annonce de la tenue de ce concert qui est une co-production de la maison Philippe Mongo (MP) et le staff du frère Byas, a été faite par le manager du chantre Byas Biyoudi, qui invite le peuple de Dieu et les amoureux de la musique dite sacrée à venir nombreux vivre en live ces deux chantres.
Il s’agira pour le frère Byas Biyoudi, au cours de ce concert, de remettre sur orbite les quelques titres de son album « Amour » comme Bolingo na nga, Lokumu na Nkolo, l’Être de ma vie, Tu es parti. Il en profitera pour présenter aussi quelques titres du prochain album, comme : Donne-moi la joie et Ton sourire. Une occasion pour le frère Byas Biyoudi de revivre des moments intenses de ... Lire la suite
« On a eu notre ticket pour Hollywood ». Après Black, film qui raconte une histoire d'amour impossible entre deux adolescents appartenant à des bandes urbaines rivales, les Belges Adil el Arbi et Bilall Fallah se préparent à tourner Le Flic de Beverly Hills 4 aux Etats-Unis. Un parcours inattendu pour ces cinéastes flamands d'origine marocaine de 28 et 30 ans, qui se sont rencontrés sur les bancs de l'école d'art Sint-Lukas à Bruxelles.
Pour les deux cinéastes, qui travaillent toujours ensemble, « comme les frères Dardenne, mais version marocaine ! », tout a commencé avec la sélection de Black l'an dernier au Festival de Toronto, où il a reçu le prix Découverte. Mais malgré ce succès, expliquent les deux compères, de nouvelles propositions n’ont pas suivi en Belgique.
C’est outre-Atlantique que les lignes ont bougé ont leur faveur. « Le film a été vu ... Lire la suite
Heureux, tout souriant, l’acteur qui est également cadreur n’était pas vraiment surpris d’avoir remporté le prix du meilleur acteur. Personnage principal dans Cuppa, court métrage de Sylvain Kalala tourné l’an dernier, il a aussi fait partie de l’équipe technique au moment du tournage. Dans cette interview avec Les Dépêches de Brazzaville il évoque brièvement ses débuts il y a huit ans.
Les Dépêches de Brazzaville : Depuis quand faites-vous du cinéma ?
Kadhafi Mbuyamba : Je le pratique depuis 2008-2009. Mais j’ai commencé par le théâtre bien avant de faire du cinéma. J’ai donc débuté entant qu’acteur avant de passer derrière la caméra. Je suis aussi cadreur et je touche à beaucoup d’autres choses. Je suis le directeur de production attitré de Bimpa production.
L.D.B : Cuppa n’est donc pas votre premier film, vous avez joué dans ... Lire la suite
Le jury présidé par Alain-Rock Ngoma assisté par Atacha Mashini et Ruffin Mbou Mikima s’est montré pointilleux dans sa tâche au point d’exclure les prix du meilleur scénario et de la meilleure réalisation, deux récompenses prévues initialement qu’il n’a pas trouvé opportun d’octroyer à cette troisième édition.
Au lancement du Festival international du cinéma de Kinshasa 2016, le 5 juillet, il avait été annoncé huit films congolais en compétition pour six prix. Au bout du compte, seulement quatre ont été décernés à la clôture, le 9 juillet. Les Dépêches de Brazzaville tiennent de Ruffin Mbou, que ce changement a été opéré de manière délibérée par le jury. « Nous avons tenu à ramener les prix à seulement quatre catégories parce que nous avons été très exigeants pour cette troisième édition du Fickin. On nous avait proposé une ... Lire la suite
La vente aux enchères qui visait à récolter les fonds pour soutenir l’organisation de ce rendez-vous culturel, du 1er au 25 septembre prochain à Brazzaville par les Ateliers Sahm, a été un succès grâce notamment à l’apport de FEPACO hôtel Maya-Maya 5 étoiles.
Après une exposition des œuvres d’art, rythmée par un orchestre de Jazz, dans la soirée du 12 juillet, les invités férus de tableaux et de toiles ont rivalisé d’ardeur pendant la vente aux enchères qui s’en est suivie. Chacun tenait, à la limite de ses moyens, à rentrer chez soi avec, ne fut-ce, qu’une œuvre d’art. pour en décrocher, les prix ont flambé jusqu’à atteindre un million, selon la valeur artistique de tel ou tel tableau. Près d’une dizaine d’œuvres ont été vendues. L’ambassadrice de l’Union européenne en République du Congo, Saskia De Lang, est celle qui en acheté ... Lire la suite
Primée pour le petit rôle tenu dans Le Diable au plafond, son propre film, la réalisatrice l’a reçu sans conviction et n’a pu se retenir de dire son étonnement sur le coup face à la récompense qu’elle n’avait pas imaginée un seul instant.
Appelée à recevoir son prix sur le podium, Paradis Mananga réagit de manière assez inattendue en annonçant au micro qu’elle ne comprenait pas pourquoi il lui revenait. Interrogée par Les Dépêches de Brazzaville dans les minutes qui ont suivi sa descente du podium, la réalisatrice explique sa maladresse. « J’ai été assez surprise et assez maladroite, je le reconnais. Je ne m’attendais pas à recevoir le prix de la meilleure actrice pour un film que j’ai réalisé. Mes deux passages dans le film n’étaient pas programmés. J’ai comblé un manque de personnage. Nous n’avions pas de filles sous la main et ... Lire la suite
Dédicacés le vendredi dernier à l’hôtel Olympic palace de Brazzaville, ces deux ouvrages publiés respectivement à l’édition du Panthéon pour « Terre battue », et L’Harmattan Congo pour « Chants du cœur », sont dorénavant disponibles chez les libraires.
Le premier est un roman de 120 pages paru le 07 mai 2015. « Terre battue », puisque c’est de ce roman qu’il s’agit, parle du quartier Lékoulèbary, un quartier populaire d’Afrique profonde rythmé par d’incessants mouvements politiques, où tribus et valeurs se confondent dramatiquement dans un décor de misère. Indiciblement, le vice est devenu le guide privilégié de pensée et de conscience de ses habitants. C’est dans cet univers malsain que Melama essaie de survivre en s’accommodant à un monde où le commun des mortels a balayé l’éthique pour asseoir la corruption légalisée.
... Lire la suiteLe Festival international d’expression féminine (Fief) va connaitre sa 5e édition qui se déroulera le 15 juillet dans l’amphithéâtre de Sueco.
Musique, danse, théâtre, mode, slam et autres figurent au programme de ce rendez-vous annuel qu’organise (à titre gracieux) la Compagnie artistique Issima en collaboration avec le chapitre national Arterial Network. Cette année, la scène du Fief va recevoir des talents féminins du pays à savoir : Amélia Mbizi, Clauvi Mbemba, Manscie Nkombo, Prestigea Kitsoukou, Nadège Aminata, Préferée Mbanzounzi et Valdy Mikamona,
La particularité de cette 5e édition est qu’il va se dérouler en une soirée seulement au lieu de 5 jours comme d’habitude, a expliqué Germaine Ololo, directrice de la compagnie Issima, faute de moyens financiers et de soutien. « Nous n’avons pas voulu laisser passer cette année sans le Fief. ... Lire la suite
Une grande soirée de soutien sera organisée ce 12 juillet au PEFACO hôtel Maya Maya à Brazzaville. Elle sera notamment ponctuée par une exposition et vente aux enchères des tableaux des artistes des Ateliers Sahm. Les fonds qui y seront récoltés serviront à l’organisation de la Rencontre internationale d’art contemporain du 1er au 25 septembre 2016 dans la ville capitale congolaise, par les Ateliers Sahm. En rappel, ces ateliers ont ouvert leurs portes en 2012, sous la direction artistique de l'écrivaine congolaise Bill Kouélany, pour soutenir les arts plastiques ainsi que d’autres formes d’expressions artistiques contemporaines comme la littérature, le cinéma, la musique et le théâtre. Pour PEFACO hôtel Maya Maya, abriter cette soirée est une manière de participer activement à l’essor du Congo et au rayonnement de ses talents à travers son apport à des ... Lire la suite