Art-Culture-Média
À coup sûr, une ambiance très hip-hop règnera ce 3 octobre sous la Grande Halle à la faveur des prestations des deux groupes annoncés, à savoir Les Spartiates et Artcon.
C’est le genre d’affiche qui attire grand monde à l’Institut français (IF). En effet, si le public attendu ce vendredi sur le coup de 19h se composera en majorité d’adolescents fortement trempés dans la culture hip-hop, l’on sait qu’en ce genre d’occasions la Halle accueille un public très hétéroclite.
Ce n’est assurément pas le droit d’entrée fixé à 2000 FC qui enlèvera l’envie à la jeunesse kinoise, bouillonnante d’énergie et friande de beau spectacle de danse, de commencer le week-end à l’IF. Du reste, la Halle a choisi à dessein d’aligner Les Spartiates et Artcon dans la même soirée. L’ambiance est garantie. C’est certain que le premier groupe cherchera à ... Lire la suite
Le Président directeur général de la chaine de radio télévision DVS+, Martin Diafouka l’a dit à l’occasion d’un point de presse qu’il a animé ce jeudi 2 octobre dans un hôtel de la place. Regrettant le fait qu’il n’avait pas une marmite d’argent, l’orateur a déploré cet arrêt de travail observé depuis le jeudi 11 septembre par les agents évoluant à ladite chaine qui, selon lui, n’était pas déclenché dans les normes.
«Avant de cultiver, il faut avant tout semer, on ne scie pas la branche sur laquelle on n’est assis, DVS + ne produit pas assez, je n’ai pas une marmite d’argent, cette grève est illégale, elle n’a aucun avis, aucun préavis. Ce mouvement est occasionné par le mécontentement de certains agents qui ont été démis de leur poste de responsabilité conformément au nouvel organigramme de la structure. La direction ... Lire la suite
Dès l’entrée, les hôtes de la déléguée Kathyrn Brahy avaient droit à un accueil cordial ponctué par la Fanfare Masolo donnant un ton solennel à la soirée qui a illuminé le jardin de sa résidence le 27 septembre.
Impossible de ne pas remarquer l’imposant robot de Womens technology qui, tel un gardien d’un château fort du Moyen-âge semblait veiller sur le passage donnant accès à l’espace festif. D’ordinaire orné d’une série de sculptures monumentales de Freddy Tsimba, le jardin de Wallonie Bruxelles s’est trouvé en plus garni de stands design créés et construits pour la circonstance. C’était là la contribution des professeurs et étudiants de l’Académie des beaux arts à la solennité de la Fédération Wallonie -Bruxelles.
Une fois dans l’enceinte l’on se trouvait nez à nez avec le premier stand où exposaient Bienvenu Nanga et Rigobert ... Lire la suite
C’est au bar-restaurant la Main bleue que celui qui se dit le Moïse de la musique congolaise a renoué avec son monde du deuxième arrondissement de Brazzaville, Bacongo, au cours d’un concert show, qu’il a donné la semaine dernière.
Après un double concert à Elonda, le groupe Extra musica international de Quentin Moyascko, s’est produit la semaine dernière au restaurant-bar la Main bleue à Bacongo.
Certains mélomanes l’avaient prédit mort musicalement. Erreur ! Car Quentin Moyascko est toujours là, très artistique, bon chanteur et danseur. Il l’a démontré au cours de ce concert. Une entrée sur scène très spectaculaire avec une canne de près de 2 mètres qui dépassait sa taille. Et le show a commencé !
C’est un Extra musica international bien structuré, à la rythmique impeccable, avec une chorale bien faite qui a accompagné le grand Moïse. En ... Lire la suite
La pièce qui peint les indignations des veillées funèbres au Congo est du dramaturge congolais, Jean-Marie Bamokéna, mise en scène par Olivier Bouesso-Nkouka.
La pièce de théâtre Chef de famille malgré lui, qui a été présentée au public par la troupe théâtrale l'Agora, est née d'un fait de vie réelle vécu par le dramaturge congolais Jean Marie Bamokéna. C’est la réalité du triste spectacle des veillées funèbres. En effet, Poto-Poto, neveu de Moboulou, un amoureux des femmes, trouve la mort. Contre son gré, Poto-Poto devient le chef d’une famille des hommes aux langues discordantes. Sa mère, son oncle Tapalé et sa grand-mère font le procès du disparu et accusent sa femme Bwaka Nzoto, une Congolaise résidant en France, de coupable du meurtre de leurs fils, oncle, frère, etc. Poto-Poto est obligé de prendre les choses en mains pour que son oncle ... Lire la suite
Organisatrice des Black Fashion Weeks de Paris et de Dakar, Adama Ndiaye est une styliste sénégalaise native de RD-Congo renommée dans le monde de la mode
Également appelée Adama Paris, à l’instar de sa ligne de vêtements, la styliste a conquis aussi bien les marchés nationaux qu’internationaux. Ses collections sont présentes notamment à New York, Tokyo, Londres et Paris.
L’épanouissement de la mode africaine est l’une des causes qu’elle défend. Elle milite contre le racisme dans le monde de la mode. À travers sa ligne née d’une envie de partager, elle s’adonne à sa passion pour afficher la diversité, partageant ainsi avec toutes les femmes modernes une mode sans frontières. Cela fait déjà douze ans qu’elle organise la Dakar Fashion Week. Et depuis 2012, elle exporte ce projet à Paris. La Dakar Fashion Week est un festival de mode et de beauté, ... Lire la suite
La conseillère du chef de l’État, chef du département de la Culture et des Arts, Lydie Pongault, s’est entretenue avec l’américain David Gilmour sous-secrétaire adjoint aux affaires africaines.
Au cœur de leur rencontre figurait la tenue, à Brazzaville au mois de novembre, du colloque international sur la baie de Loango et la traite négrière atlantique. « Je pense que l’on doit discuter de ce que nous pouvons apporter dans l’œuvre de l’édification des musées dans laquelle le Congo veut se lancer car nous avons des experts aux USA qui peuvent apporter leur expérience dans ce domaine. Il y a des possibilités de collaboration ». Le diplomate américain qui se rend au Congo pour la deuxième fois, en dix mois, a manifesté un intérêt particulier pour la culture congolaise, notamment dans la mise en valeur et la conservation de son patrimoine à travers ... Lire la suite
Participante aux troisièmes Rencontres internationales d’art contemporain (Riac) sur le thème du textile, l’artiste-peintre béninoise traduit à travers sa peinture la double posture que revêt le pagne dans les sociétés africaines
Postulant que dans son pays ce sont les femmes qui donnent aux femmes leur valeur, Bello a choisi pour sa peinture une femme au visage attendrissant et innocent. Dans son œuvre, elle montre que le pagne est un élément de communication et rappelle le rôle qu’il joue dans les sociétés africaines : « C’est en fonction du pagne que les gens portent que l’on distingue leur classe sociale. Le pagne est devenu un outil de revendication du statut social. »
Dans son tableau, Bello Moufouli fustige la vanité de l’être humain : « Au-delà du rôle que joue le pagne en Afrique, j’ai voulu rappeler que peu importe la classe sociale, ... Lire la suite
Une conférence de presse a été animée le 30 septembre par les responsables de l’Institut français de Pointe-Noire. Objectif : fixer le public sur la saison culturelle 2014-2015.
Franck Patillot, directeur de l’institut français, Lucile Charpentier, chargée de communication et de culture, Pauline Cassarin-Grand, chargée de mission livre et responsable médiathèque ont, au cours de ce petit-déjeuner de presse, éclairé l’opinion sur les activités en cours et à venir. Cinéma, vernissage, théâtre, musique seront au menu et mettront en lumière les artistes de Pointe-Noire, du Congo et ceux de l’étranger.
Selon Franck Patillot, les artistes du Congo ont été sélectionnés à partir des auditions. Et les étrangers le sont grâce aux tournées et programmations régionales et sous-régionales des Instituts français du monde qui ont mis en exergue le talent et la ... Lire la suite
Anicet Magrego Malonga est un artiste musicien congolais moins connu par les amoureux de la musique brazzavilloise. Il est en même temps peintre, auteur - compositeur, coiffeur et ancien élève de l'école de peinture de Poto-Poto. Il a sorti au mois d’août son premier album solo de plus de huit titres.
L’artiste évolue à Montréal, au Canada. Son premier album solo «Zala mayele na mokili » est un mélange bien rythmé et coloré de ndombolo, reggae et de folklore. Il comporte plus de huit titres, qui parlent de l'amour, la femme, l'éducation, la jeunesse et les faits de société « J’ai choisi de m’inspirer de ces styles parce qu’ils sont fondés sur un profond message qui prône l’amour du prochain, l’unité des hommes »
Parmi les titres, on peut citer : Saï-lé, Karina, Jaka ; Mamo ; Banda ; Allo, Tongo ; miss Nzumba « Mon album ne ... Lire la suite