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En attendant l'album Radio Africa, un hommage composé de 14 reprises d'artistes africains ayant marqué la musique du continent et dont la sortie est prévue le 23 juin, le groupe Magic System a clôturé dimanche la 8e édition du Festival des musiques urbaines d'Anoumabo (Côte d’Ivoire), le quartier d’Abidjan qui les a vus grandir. Pour A’salfo, leader vocal du groupe et commissaire du Festival, l'heure est au bilan.
Les Dépêches de Brazzaville : Comment l'idée d'organiser le Festival des musiques urbaines d'Anoumabo vous est-elle venue ?
Tout d’abord, on voulait rendre hommage à Anoumabo, ce quartier d’Abidjan où nous avons grandi. Au départ, on n’avait pas vu ça aussi grand. On voulait juste divertir la population et lui dire qu'on ne l’avait pas oubliée. Par la suite, on s'est dit qu'avec nos nombreux contacts, on pouvait inviter d'autres artistes à ... Lire la suite
Ce concert intitulé « Plus grand cabaret d’Afrique » sera donné le samedi 2 Mai 2015 à l’Institut français du Congo (IFC) par l’orchestre S.O.S Salsa. A quarante-huit heures de l’événement, nous nous sommes rapprochés de Romain Gardon, président de ce groupe, qui a parlé de l’origine de S.O.S Salsa, des préparatifs du concert ainsi que du lancement international de la dixième édition du festival panafricain de musique (Fespam) à la Havane à Cuba.
Il est une évidence que tout bon Congolais amoureux de la musique en général et de la salsa en particulier, se souviendra que cela fait 20 ans que naquit à Brazzaville, un orchestre composé d'anciens étudiants congolais partis pour des études à Cuba, nommé S.O.S Salsa. Ils ont pensé qu’il fallait que cette histoire soit scellée dans le marbre avec l’existence d’un groupe qui est aujourd’hui une ... Lire la suite
La collection "Continent noir" de l’édition Gallimard fête cette année ses quinze ans d’existence. Créée en 2000, cette collection est devenue au fil des années une collection de découvertes et d’affirmation pour de nombreux auteurs de l’Afrique et sa diaspora.
En 2015, « Continents Noirs » compte quatre-vingt-dix ouvrages parus, quarante et un auteurs, soit une moyenne de six livres par an. De nombreux écrivains reconnus aujourd’hui ont publié leur premier ouvrage dans « Continents Noirs » comme : Sylvie Kandé (Lagon, Lagunes préfacé en 2000 par Édouard Glissant), Scholastique Mukasonga (prix Renaudot 2012 pour Notre-Dame du Nil), Nathacha Appanah, Ousmane Diarra, Libar M. Fofana, Fabienne Kanor, Amal Sewtohul, Théo Ananissoh, Boniface Mongo-Mboussa (dont l’essai Désir d’Afrique est préfacé par Ahmadou Kourouma), le roman du dramaturge Koffi ... Lire la suite
Le Festival des musiques urbaines d'Anoumabo (Femua), initié par le groupe ivoirien Magic System, s’est clôturé en fanfare et en beauté le 26 avril dernier.
Dans une ambiance électrique et des concerts live donnés par les artistes, la huitième édition de Femua a procuré joie et gaieté aux plus démunis. En attraction, les artistes comme Fally Ipupa, ou encore Zaho n’ont pas manqué d’émerveiller le public présent. La scène du Festival a servi aussi de tribune aux chanteurs, pour lancer un appel aux Sud-Africains qui font l’apologie de la xénophobie.
Avec pour thème "l’intégration et le rassemblement des peuples", le Femua a accueilli, du 21 au 26 avril 2015, une quinzaine d’artistes venus des quatre coins du monde. Parmi lesquels, le Malien Habib Koïté, le Cap verdien Philip Monteiro, le Burkinabé Smarty…
Un des quatre-vingt-treize villages qui forment ... Lire la suite
La nouvelle série, qui s’inscrit dans le cadre du projet « Capital numérique » initié par l’OIF, vise à valoriser les archives des télévisions africaines.
Ancien de l’Institut congolais de l’audiovisuel, Paul Distingué Malonga a remporté ce concours lancé par l'OIF et le Cirtef le 20 février. Agé de 35 ans, il est actuellement en formation à l'Université Senghor d'Alexandrie, en Égypte. Neuf projets étaient en compétition et provenaient de six pays (RDC, France, Cameroun, Côte d'Ivoire, Sénégal et Togo). Paul Malonga a expliqué sa motivation aux Dépêches de Brazzaville : « J'ai travaillé dans le cadre de mon master sur un projet de valorisation du patrimoine audiovisuel (archives) en proposant un modèle de gestion et un un modèle économique pour l'exploitation de la richesse historique que représente ces ressources. Cela va dans le sens ... Lire la suite
Cent quatre-vingt-douze élèves de seize écoles de la capitale vont concourir, ce 30 avril, en phase ultime de la première édition de l’épreuve dédiée aux jeunes âgés de dix à quinze ans.
La finale de l’édition initiale d’OrthogrAfrique, le concours d’épellation de mots initié par Olivier Kayomo va se tenir dans la salle de congrès du Palais du peuple. Il s’agit d’un évènement à part entière organisé autour des seize écoles concurrentes réparties en trois catégories. Une confrontation solennelle qui devrait se dérouler en présence des présidents des deux chambres du Parlement, en l’occurrence Léon Kengo wa Dondo et Aubin Minaku. Y sont également conviés des ministres, notamment ceux de la Culture et des arts, de l’Enseignement primaire et secondaire auxquels vont se joindre des ambassadeurs et chefs de mission diplomatiques, sans oublier les ... Lire la suite
La jeune chambre M’foa la verte a procédé du 27 au 28 avril à la mairie de M’filou au lancement du projet "arbre à lire & spelling Be" dans le but entre autres de revaloriser le livre. Cette activité avait pour thème « perception de la réussite chez les jeunes ».
Pendant deux jours les élèves des différents établissements scolaires de l’arrondissement 7 M’filou ont découvert le plaisir de la lecture à travers l’exposition des livres des différents écrivains et des stands animés par la maison d’édition l’harmattan- Congo, la direction générale du livre et les Dépêches de Brazzaville. Ces élèves ont aussi fait valoir leurs capacités intellectuelles par une compétition d’orthographe et d’épellation des mots justes (spelling Be). Ce concours permet à l’élève de mieux écrire et d’épeler correctement les mots.
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À l’occasion de la journée internationale de la fête des travailleurs, le 1er mai, l’artiste musicien, Doudou Copa de Mi amor, sera dans la ville de Mâ Loango. Au menu, un concert live au Night Club Jeef dancing, situé sur le boulevard Charles de Gaulle, dans le premier arrondissement de Pointe-Noire.
Il n’y a pas de fête sans musique, car depuis des siècles, la musique a toujours eu une place de choix dans la tradition des fêtes. Et ce premier mai, Doudou Copa sera à Pointe-Noire pour émerveiller la journée internationale de la fête des travailleurs.
En réalité, Doudou Copa sera l’hôte qui va apporter la chaleur et l’ambiance, ce 1er mai à Pointe-Noire. Car il a de quoi faire bouger les travailleurs ponténegrins pendant cette journée de fête. Pour cela, il pourra compter sur ses mélodies musicales, interprétées dans un style doux.
Chaque année, le ... Lire la suite
À l’occasion de la Journée mondiale du Jazz, célébrée le 30 avril, la directrice général de l’Unesco Irina Bokova a délivré un message dans lequel elle reconnaît les valeurs universelles du Jazz : le partage, le courage et la paix. Avec le soutien du Thelonious Monk Institute of Jazz et de Herbie Hancock, grands noms du jazz et ambassadeurs de bonne volonté de l’Unesco, des spectacles, des séances d’improvisation, des ateliers sont organisés à travers le monde.
En cette Journée internationale du jazz, les femmes et les hommes du monde se sont tous réunis. Cette année, la manifestation s’inscrit au cœur de la célébration du 70e anniversaire de l’Unesco. Le jazz, c’est la diversité sous sa forme la plus variée du free jazz au latin jazz en passant par le swing et le jazz afro-cubain, l’indo jazz, l’acide jazz et le jazz ra. Chaque style ... Lire la suite
Le Musée d’art et d’industrie de Roubaix consacre une exposition à Victor Vaissier, industriel français du XIXe siècle, qui prospéra pendant vingt ans avec son produit phare « Le Savon du Congo ».
C’est en 1883, peu de temps après le retour de Savorgnan de Brazza de sa seconde expédition au Congo que Victor Vaissier, décide de rebaptiser la Savonnerie des nations, l’entreprise familiale fondée par son père en 1869, pour lui donner le nom de Savonnerie du Congo.
Savorgnan de Brazza était alors en pleine campagne de vulgarisation auprès de la population française, par voie de presse et l’organisation de conférences, des découvertes de la fructueuse mission, au cours de laquelle il avait pu obtenir du Makoko Illoy Ier la signature d’un traité d’amitié entre son royaume et la République française.
Victor Vaissier développa autour de son produit phare ... Lire la suite
