Art-Culture-Média
En prenant ses fonctions de directrice de l’Institut Français du Congo (Ifc) de Pointe-Noire, Fabienne Bidou promet de traiter tous les acteurs culturels comme des amis dont l’apport est vivement attendu pour la promotion de la diversité culturelle dans la capitale économique.
Pointe-Noire compte de nombreux espaces culturels dont les plus célèbres sont, entre autres, l'Institut Français du Congo (Ifc), Jean Baptiste Tati-Loutard, Trentenaire, Yaro, Kintuari et Padiex. Des espaces qui vivent au rythme des festivals, des concerts, des projections cinématographiques et d’ateliers littéraires. Grace à des acteurs aussi bien créatifs que dévoués. Lesquels travaillent dans une franche collaboration en dépit de leurs différences culturelles.
C’est donc dans cette diversité culturelle que Fabienne Bidou, récemment nommée directrice de l’Institut Français du Congo ... Lire la suite
Fille d’enseignants, l’écrivaine et journaliste biélorusse Sveltana Alexandrovna Alexievitch succède à Patrick Modiano en recevant le prix Nobel de littérature 2015 pour son ouvrage Les Cercueils de zinc, publié en 1990, sur la guerre en Afghanistan (1979-1989). Elle est la quatorzième femme à bénéficier de ce titre sur les 112 lauréats récompensés depuis 190.
Celle qui se défend de n’être pas une héroïne apparaît pourtant à travers ses œuvres une dénonciatrice farouche des violences de l’homme sur l’homme. Quelques titres que voici en sont un exemple, « Supplication : Tchernobyl, chroniques du monde après l'apocalypse », «La guerre n’a pas un visage de femme », «La Fin de l’homme rouge ou le Temps du désenchantement ».
Lentement mais sûrement, on se rapproche de l’échéance fixée pour la sortie officielle du « 13ème apôtre », le tout dernier opus de Koffi Olomide.
On est déjà à l’heure du décompte puisque le 13 octobre 2015, la date-butoir, c’est déjà demain. Mais bien avant qu’il ne soit largué sur le marché du disque, le nouveau support de « Quadra Kora » fait jaser. Et pour cause ?
L’affiche-annonce est jugée un peu trop osée dans certains milieux. Antoine Agbepa n’y est pas allé sur le dos de la cuillère pour rajouter à ses frasques, à grand renfort d’images et de patronyme. C’est cela la marque de fabrique d’une star qui trouve du plaisir à faire le buzz, à temps et à contretemps, rechigne-t-on. Au-delà des commentaires qui vont dans tous les sens, l’affiche reflète le côté surdoué d’un artiste dont le génie-créateur vient à nouveau ... Lire la suite
Peintre, musicien, chef d'orchestre, Guy-Léon Fylla est demeuré jusqu’à sa mort le 1er octobre 2015 à l’âge de 86 ans, le doyen des artistes congolais le plus respecté.
Le doyen des artistes-peintres et musiciens congolais qui venait de totaliser ses 86 ans le 11 avril 2015, a tiré sa révérence six mois après.
En effet, né le 11 avril 1929 à Élisabetha, rebaptisée Lokutu, au Congo-Belge, Guy-Léon Fylla, est le dernier d’une famille de trois enfants. C’est à l’école Sainte-Jeanne d’Arc à Brazzaville qu’il débute ses études en 1937.
Autodidacte chevronné, Guy Léon Fylla, n’arrête pas d’apprendre. Il a commencé à peindre en 1947, alors qu’il est en vacance à Brazzaville auprès de son frère aîné, Michel Fylla de Saint-Eudes, qui pratique la peinture en amateur. Il s’inscrit par correspondance à l’Ecole internationale de ... Lire la suite
Dadou et Pitsho sont réapparus sur le petit écran, le 14 septembre aux alentours de 13h, dans un nouvel épisode diffusé sur B-One TV en guise de lancement de la Saison 2 du célèbre dessin animé congolais en lingala.
Annoncée depuis un peu plus de trois ans maintenant, la deuxième saison de la célèbre série humoristique en lingala est enfin disponible. Bana Boul est de retour sur le petit écran. L’on retrouve Dadou et Pitsho dans un décor tout à fait différent de celui de la Saison1, ils passent carrément de la rue, l’école, l’église, etc., à la télévision. Ce que Dadou prend soin de souligner d’entrée de jeu après les salutations qu’il adresse aux « bandeko batali », autrement dit aux téléspectateurs. Un mot qu’il a un sacré mal à dire et coupe court en sortant l’équivalent en lingala qui est somme toute la principale langue de la ... Lire la suite
Ecrivain et universitaire togolais, Théo Ananissoh, installé en Allemagne, est l’auteur du roman Le Soleil sans se brûler, publié aux éditions Elyzad. Sur 112 pages, ce roman évoque Sony Labou Tansi, romancier, poète, metteur en scène et dramaturge congolais, décédé en juin 1995.
Les Dépêches de Brazzaville : Quels sont vos souvenirs sur l’écrivain Sony Labou Tansi ?
Théo Ananissoh : Un seul. C’était en 1986, à l’automne (ou alors au tout début de 1987). Dans tous les cas, je venais d’arriver en France. Notre prof à la Sorbonne nous a informés qu’aurait lieu au Centre Beaubourg, à Paris, une rencontre avec Sony Labou Tansi. Je garde le souvenir d’une séance peu satisfaisante. Sony a été verbeux, sans réel propos littéraire ou intellectuel à mon goût. Comme je l’expérimenterais moi-même bien après, il n’y avait guère d’auditeurs ... Lire la suite
L’événement aura lieu du 26 au 31 octobre 2015 prochain. L’annonce a été faite, le 7 octobre, par madame Norma Borges, ambassadeur de ce pays en République du Congo, à sa sortie d’audience chez le ministre du Tourisme et de l’environnement, Josué Rodrigue Ngouonimba.
Outre l’annonce faite sur la tenue de la semaine culturelle et touristique à Brazzaville prévue du 26 au 31 octobre 2015, au ministre Josué Rodrigue Ngouonimba, les deux hommes d’État ont fait également le point sur toutes les précédentes réunions qu’ils ont eu. Ils ont aussi examiné le projet sur l’accord touristique entre les deux pays, à finaliser courant 2016.
Josué Rodrigue Ngouonimba et Norma Borges, ont aussi parlé de la coopération bilatérale entre les deux Etats.
« Le Congo comme le Venezuela sont des pays pétroliers et nous ne devons pas nous baser uniquement sur le ... Lire la suite
Dans le cadre de la promotion des activités de loisirs, la directrice départementale des loisirs de Brazzaville, Huberthe Bouna, a organisé une excursion au complexe sportif de la Concorde de Kintélé sur le thème : « Les loisirs sains, dans un corps sain ».
Placée sous les auspices du secrétaire général du département de Brazzaville, Barthélemy Okimi, cette excursion s’inscrit dans le cadre du programme d'activités de la direction départementale des loisirs de Brazzaville.
Avant de visiter tour à tour le bloc administratif de trois niveaux, l’hôtel de la concorde de 100 chambres, la salle de conférence de l’hôtel de 150 places, le complexe nautique, le palais des sports, les stades de tennis, de volley, le stade de l’unité et les deux stades annexes, la directrice départementale des loisirs de Brazzaville, s’est adressée à l’ensemble de la ... Lire la suite
Le chorégraphe Jean Claude Kodia, alias Diako, directeur artistique de la compagnie plante planétaire en partenariat avec l’Institut français du congo, organisent du 1er au 13 novembre prochain, des ateliers chorégraphiques de danse et mouvement de Brazzaville dont l’objectif est d’améliorer le travail des jeunes chorégraphes.
Des chorégraphes qui viendront de Brazzaville et d’ailleurs participeront à ces ateliers qu'animeront conjointement le chorégraphe Burkinabé, Salia Sanon avec l’assistance du chorégraphe congolais, Jean Claude Kodia, l’initiateur dudit projet.
Au cours de ces ateliers, des portes-ouvertes se tiendront les matinées ; dans les après-midi interviendra le regard extérieur sur les chorégraphies des différentes compagnies puis la sélection des différents groupes de Brazzaville. Les participants seront ... Lire la suite
Du 7 au 10 octobre aura lieu à l’institut français du Congo (Ifc) la première édition du festival de Jazz BraJazz. Organisé avec l’aide du collectif Congo Ndulé Jazz, ce nouveau festival conduira les amoureux de Jazz au cœur de quatre journées autour des ateliers, des expositions, de séance de cinéma et trois soirées de concert et deux jam sessions.
Pour offrir une programmation internationale, une sélection de groupes de Brazzaville a été faite par le collectif Congo Ndule Jazz de Kinshasa et également de France. Ainsi sur les planches de l' ifc, on verra se relayer les groupes comme Wakassa qui fut un orchestre du piano Bar de l’hôtel Méridien. Ils s’inspirent des formules harmoniques musicales africaines, américaines et européennes pour une symbiose de ce qu’ils appellent l’ultrajazzfusion.
Les Ritkum et Africabrass , Basa, et Emana’o qui ... Lire la suite