Économie
Le budget du Fonds forestier a été adopté en recettes et en dépenses le 5 mai à Brazzaville, à la faveur de la onzième session de son comité de gestion
Trois points majeurs figuraient à l’ordre du jour de cette séance essentiellement budgétaire, placée sous la houlette de Jacques Kanwé, président du comité de gestion du fonds.
En premier lieu, les membres du comité ont attentivement examiné le rapport d’activités exercice 2013 afin d’évaluer l’ensemble des actions réalisées sur l’année par le fonds forestier. Le but étant, conformément aux objectifs et ambitions du gouvernement, d’améliorer les prestations et services du fonds et d’assainir le secteur forestier.
Ils ont également étudié le rapport financier de l’exercice 2013 et les différents états y figurant : bilan, compte de résultats, tableaux de flux de trésorerie et commentaires ... Lire la suite
L’entreprise indienne Angelik pointe du doigt la SNCC (Société national de chemin de fer) qui multiplie des grèves, entraînant ainsi la lenteur dans le transport des matériaux de construction de l’ouvrage.
Chargée de la construction du barrage hydroélectrique de Katende, dans le Kasaï Occidental, l’entreprise indienne Angelik a présenté sa plainte, le 3 mai, auprès du gouverneur de province, Alex Katende, afin qu’il intervienne auprès de la SNCC pour une évacuation rapide des matériaux de construction, rapporte radiookapi.net. Ce qui lui permettrait de finir les travaux dans le respect de l’échéance.
Accompagné d’une importante délégation constituée des ministres et députés provinciaux, le gouverneur du Kasaï Occidental est descendu dans le chantier de construction pour se rendre compte de l’évolution des travaux qui doivent s’achever en 2016 ... Lire la suite
La République du Congo a mis à jour l’accord aérien qui la lie au Royaume des Pays-Bas, depuis le 3 février 1969. Un accord établissant des services aériens entre leurs territoires respectifs, dans le but de garantir le plus haut degré de sûreté et de sécurité dans le transport aérien international.
Le ministre d’État, ministre des Transports, de l’Aviation civile et de la Marine marchande, Rodolphe Adada, a signé le 30 avril, à La Haye aux Pays-Bas, l’accord y relatif avec le directeur général des relations économiques au ministère des Affaires étrangères des Pays-Bas, Simon Smits.
Cependant, ce nouvel accord aérien entrera en vigueur le premier jour du deuxième mois, suivant la date à laquelle les parties contractuelles se seront mutuellement informées, par écrit, que les formalités et exigences constitutionnelles requises dans leurs pays ... Lire la suite
Le Projet de développement rural dans les départements de la Likouala, du Pool et de la Sangha (Proder) et le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), expérimentent dans le Pool l’aviculture sur pilotis, associée à la pisciculture
Une délégation du Padef/Proder a effectué le 3 mai à Kinkala (Pool), une mission de suivi sur les activités avicoles et piscicoles initiées dans cette localité. Elle s’est arrêtée dans la coopérative piscicole de Bondo, située dans le quartier Makoumbou.
Le site de 7 hectares est constitué de 10 étangs dont 9 de 45,58 ares au total sont destinés à la production, et le tout dernier (1,65 ha) sert à garder les alevins après les opérations de vidange. Les étangs sont approvisionnés à partir de la rivière Ngamapasa à travers un canal de 526 mètres de long. Y travaille un groupement composé de 72 personnes dont ... Lire la suite
Le Sénégal, pays d’Afrique de l’Ouest ne bénéficiant pas de rente pétrolière, minière ou commerciale, s’est doté d’un Fonds souverain d’investissements stratégiques (Fonsis). C’est une première en Afrique subsaharienne. Le Fonsis permettra au Sénégal de financer en priorité l’agriculture, les infrastructures et la santé
« Avec le Fonsis, l’État devient investisseur. Et ce rôle d’État investisseur a été très déterminant dans l’émergence des pays qui se sont développés durant les quarante dernières années. Le Sénégal ne peut pas se dérober », a déclaré le directeur du Fonsis, Amadou Hott, qui a indiqué : « D’ici un mois et demi ou deux mois, l’on pourra assister au premier investissement du Fonsis […] Notre rôle, c’est de créer des emplois et de la richesse. » Les premiers investissements se feront dans ... Lire la suite
Praia, la capitale du Cap-Vert, a abrité, le 2 mai, la septième rencontre des gouverneurs des banques centrales de la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP), sur le thème : « Convergence de la régulation et du contrôle de l’activité financière »
Selon la Banque centrale du Cap-Vert, il s’agissait là « d’une opportunité privilégiée », dans le cadre des échanges entre les gouverneurs, pour « promouvoir et faciliter un plus grand rapprochement » économique et financier des pays de la CPLP.
La rencontre s’est faite en deux temps. Tout d'abord, elle a été ouverte à d’autres entités et institutions financières publiques et privées. La deuxième partie a été consacrée au thème central ainsi qu’à la collecte de subventions en vue d’améliorer la convergence des pays de langue portugaise avec les standards internationaux.
Lors du conseil ordinaire des ministres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac) à Douala, la capitale économique du Cameroun, l’Union monétaire de l’Afrique centrale (Umac) a plaidé pour une gestion efficiente et efficace des affaires publiques dans la zone
Cette position a été affirmée au lendemain de la décision de la Banque des États de l’Afrique centrale (Béac) de porter le taux de croissance de l’espace communautaire à 6,7% contre 5,6% prévu en 2013. Après avoir entériné le bilan de la banque centrale, dont le bénéfice s’est élevé à 18,5 milliards FCFA en 2013, le conseil des ministres a examiné le fonctionnement des deux marchés financiers d’Afrique centrale.
Dans cette perspective, l’Umac, qui a voté le budget de la Commission de surveillance de marché financier d’Afrique centrale, a arrêté la ... Lire la suite
Le ministre du Développement industriel et de la promotion du secteur privé, Isidore Mvouba, a félicité la croissance remarquable intervenue au sein de la société privée Rafraichissant glaces eau du Congo (Ragec), après dix ans d’activités.
Installé en 2004 en tant que producteur de l’eau minrérale (cristal en l'occurrence), Ragec a étendu ses activités en ajoutant dans sa gamme de produits des boissons gazeuses. De 45 agents à l’ouverture, cette société est passée à 744 employés avec des Congolais en majorité. Son chiffre d’affaires a grimpé à 14 milliards FCFA contre 167 millions FCFA au départ.
« C’est une entreprise exemplaire qui contribue au développement de l’économie nationale. J’avoue que je suis agréablement surpris par ses performances et sa stabilité. Mais surtout par sa diversification dans l’agro-industrie », a ... Lire la suite
Les investisseurs congolais sont montés au créneau, le 2 mai à Brazzaville, à la faveur d’une assemble générale extraordinaire organisée par l’Union nationale des opérateurs économiques du Congo, pour exiger leurs dus aux pouvoirs publics
Six points, essentiellement de revendication, ont été débattus au cours de cette réunion présidée par Hel Hadj Abdoulaye Bopaka, le président de cette organisation patronale.
En premier lieu, les hommes d’affaires congolais, venus en masse à cette rencontre tenue à la préfecture de Brazzaville, revendiquent le paiement systématique et sans condition de la dette commerciale cumulée dont le dossier est resté sans suite. Il s’agit de la dette conventionnée des oubliés, des dossiers scellés ainsi que des situations de justice, le tout pour un montant estimé à environ 600 milliards FCFA.
Ils ont également examiné le ... Lire la suite
Les renseignements officiels chiffrés sont disponibles et ils ont même été portés à l’attention des experts internationaux dans la perspective de la publication du prochain classement.
Les experts s’étaient intéressés aux indicateurs relatifs à la création d’entreprise, au permis de construire, à l’accès au crédit, au commerce transfrontalier, à l’accès à l’électricité et au paiement des taxes et impôt. Tout en reconnaissant les contraintes persistantes, notamment la faiblesse de l’administration publique, la résistance de certains services et le déficit de la communication, l’on a noté tout de même des progrès non négligeables. Pour la première fois, l’équipe d’experts Doing Business avait pu d’ailleurs s’en rendre compte auprès des services publics directement impliqués dans ces réformes : la Snél (électricité), la DGI ... Lire la suite