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D’un grand cœur et d’une belle plume, la journaliste française Audrey Pulvar salue dans son ouvrage, « Libres Comme Elles », l'effort, la peine, le combat d’une vingtaine de femmes qui ont chacune dans leurs domaines écrit l'histoire et contribué à la défense des libertés féminines.
Toni Morrison, George Sand, Marylin Monroe, Joyce Carol Oates, Karen Blixen ou Camille Claudel figurent sur cette liste de vingt et une figures féminines dont Pulvar brosse le portrait dans ce recueil de 216 pages. Un carnet intime sur les luttes et les rêves de ces vaillantes dames ayant ouvré, à leur façon, pour l'émancipation féminine.
Intellectuelles, auteures, artistes, toutes ont défrayé la chronique et provoqué les brillances des bien-pensants en prenant le risque de s'affranchir de leur temps. Ces pionnières ont fait des choix artistiques, littéraires, ... Lire la suite
C’est sur le thème « Renforcer la stabilité financière dans les ménages monoparentaux, dirigés par des femmes par une aide au développement de leurs activités de subside » que s’est tenue la deuxième édition du trophée Women’s Activity Awards, le week-end dernier au palais des Congrès de Brazzaville, en présence du haut-commissaire chargé des ex-combattants, le général Norbert Dabira, de Saskia Delang, chef de la délégation de l’Union européenne au Congo…
Organisée par l’association Femmes modèles que préside Mildred Moukenga, Women’s Activity Awards est un trophée qui vise, à encourager l’autonomie financière chez les femmes. Cela en développant les rapports entre les bailleurs de fonds et les femmes afin qu’elles bénéficient d’aides et de formations pour développer leurs activités. L’objectif spécifique de cette édition est ... Lire la suite
La première de « On gagne ou on gagne ! » offerte en guise de sortie officielle du groupe à 20h au resto-lounge-bar situé sur l’avenue Kabasele Tshamala (ex-Flambeau) est une production de Mongongo arts.
Quand Bénédicte Shutsha choisit de nommer son spectacle « On gagne ou on gagne ! », c’est que pour elle, il n’y a pas d’autre alternative au succès que le succès. Et pour y parvenir, il faut se battre au quotidien : « Chaque jour est une bataille », affirme-t-elle. D’avis que le combat est de plusieurs ordres, elle explique ici que « l’on se bat pour aller à l’école, pour avoir du travail » ou alors comme dans son cas « pour être artiste ». Et de poursuivre que pour elle : « Au finish, il n’y a qu’une seule option : “la victoire, le succès“. Il n’ y a pas deux choix ».
Dans ce discours où la chorégraphe témoigne de sa ... Lire la suite
Le XIXème Salon international du livre d’Alger (Sila) s’est tenu du 30 au 08 novembre. Le Congo était représenté par Claudia Mokoko Guikochi, promoteur des Editions Hemar. Trois auteurs s'étaient joints à lui à savoir : le poète Gabriel Mwene Okoundji, le romancier et dramaturge Henri Djombo et le critique littéraire Mukala Kadima-Nzuji.
En 2009, à la faveur de la deuxième édition du Festival culturel panafricain d’Alger, le SILA avait aménagé en son sein un espace entièrement consacré aux professionnels du livre du continent. Le but était d’offrir aux auteurs et éditeurs d’Afrique l’occasion de se rencontrer, d’échanger leurs idées, de partager leurs expériences, mais aussi d’exposer leurs produits et de faire découvrir l’actualité d’une littérature continentale, souvent méconnue des Africains eux-mêmes, en dépit de sa richesse ... Lire la suite
En plus de la librairie éphémère qui occupera la Petite Halle à partir de jeudi jusqu’à deux heures de la clôture dimanche, la programmation variée de la deuxième édition inclut lectures, débats, spectacles, ateliers de BD, expositions, un concours de BD et des séances de dédicace.
Il va y avoir du mouvement cette semaine entre l’Institut français, le Centre Wallonie-Bruxelles, les Espaces Bilembo et Sadi, l’Académie des Beaux-arts, le Lycée français René Descartes et le Lycée belge Prince de Liège où se tiendront successivement les diverses rencontres programmées du mercredi au dimanche. Peu importe que l’on aime le roman, la poésie, le théâtre ou la bande dessinée, l’Institut français a choisi de contenter tout le monde. Déjà, la deuxième Fête du livre entend ouvrir ses portes avec le concert de Petit Wendo et a tout pour plaire même aux ... Lire la suite
Les Dépêches de Brazzaville : Pourquoi avez-vous fait du festival une fête tournante entre différents départements ?
Abdon Kwele : Notre pays a beaucoup souffert dans sa partie Est. Près de vingt ans de guerre. Par cette itinérance, Nzenze favorise la paix et l’unité des peuples.
Qu’est ce qui justifie le choix porté sur Kasumbalesa et la participation des artistes zambiens ?
Notre pays vit en paix et la paix est un facteur qui ne peut se faire inexorablement que part les échanges divers entre les pays. La cité de Kabumbalesa est une porte d’entrée et de sortie avec l’Afrique australe et l'Afrique du Sud qui sont déjà très avancées sur plusieurs domaines. Créer une telle symbiose faciliterait les échanges.
À quand la prochaine édition et où se tiendra-t-elle ?
En 2015, Nzenze célèbre sa première décennie et naturellement nous reviendrons là ... Lire la suite
L’événement porté pat l’Institut français (IF) se tiendra sur sept sites autour du thème « Le Congo dans la mondialisation » du 12 au 16 novembre avec la nette ambition de faire découvrir d’autres facettes du pays partant des écrits de trente auteurs congolais, belge, suisse et français.
Avec pour supports le roman, la nouvelle, la poésie, l’essai, le théâtre et la bande dessinée, les sujets qu' abordera la 2e Fête du livre de Kinshasa s’annoncent autant variés qu’intéressants. À vocation sociale et économique, les conférences et tables rondes de jeudi et vendredi sont présentées telles des opportunités d’approfondir ses connaissances sur des questions précises. Elles devraient porter assurément à un regard neuf sur la RDC. Aussi, Alain Huart, l’auteur de Congo, les quatre trésors, apportera-t-il de l’éclairage sur « L’avenir de ... Lire la suite
Contre toutes attentes, le festival "Nzenze Ngoma ya Kwetu" a relevé le défi en célébrant l'été dernier sa neuvième édition dans la cité douanière et frontalière de Kasumbalesa à proximité de la République zambienne avec pour thème : « Échanges culturels, facteur de renforcement des relations de bon voisinage entre des peuples frontaliers »
En Swahili « Nzenze » signifie guitare et « Ngoma ya Kwetu » veut dire les tambours de chez nous. Dans son itinérance, après Lubumbashi, Likasi, Kolwezi, Kalemie et Kamina, cette grande rencontre des musiciens de la région s’est donné comme mission d’émouvoir un public habituellement occupé à faire du business à longueur de journée.
C’est sur la place du marché qu’a été érigé un splendide podium haut de 4m sur 15m de longueur et 5m de largeur. Lumières multicolores, instruments de musiques, ... Lire la suite
Célébrée chaque 7 novembre de l’année, la journée de l'écrivain sera vécue en différé, le 14 novembre au siège de la préfecture du Kouilou à Loango, avec à l’honneur l’écrivain Benoît Moundélé Ngolo, a indiqué Alphonse Nkala, directeur du livre et de la lecture publique dans le département du Kouilou.
Deux activités sont prévues pour la célébration de cette journée. Le 14 novembre en matinée sera organisée, au siège de la préfecture, une grande rencontre animée par huit éminents critiques littéraires et universitaires qui feront des communications sur les œuvres de Benoît Moundélé Ngolo. Il s’agit de : Claur Kombo, des professeurs Kadiama-Nzuji, Jean Luc Aka-Evy et Omer Massoumou, de Bienvenu Boudimbou, Marius Ngoya Kessy, Pierre Ntemou et Joseph Ona Sondjo. Le même jour à 19 heures, à l’espace culturel Jean Baptiste Tati ... Lire la suite
Si vous surfez sur Internet à la recherche de vidéos pour découvrir Ponton La Belle, vous tomberez inévitablement sur Pointe Noire Channel, la chaîne Youtube de Philippe Édouard, réalisateur de plus de 150 films sur la vie quotidienne dans la ville Océane. Portrait d'un homme atypique.
Il y a aujourd'hui 4 ans, Philippe Édouard, réalisateur français, posait pour la première fois les pieds sur le tarmac de l'aéroport international A. A. Neto de Pointe Noire. Presque un coup de foudre immédiat pour cette ville où il vient tourner un film au Port autonome pour la société Nile Dutch. Et puis, lors de ce même séjour, il enchaîne avec un documentaire tourné à Mossaka à la demande de la GNCAC (Gestion Nouvelles Chantiers et Ateliers du Congo). Deux contacts établis par Congoloc, société de prestations maritimes de deux de ses frères installés à Pointe ... Lire la suite
