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À un an de la disparition du Seigneur Tabu Ley, Faya Tess, la Sirène d'eau douce, rend hommage à l’illustre auteur-compositeur-interprète des deux rives du fleuve Congo. Pour se trouver dans la reprise des titres emblématiques de Ley, Caën Madoka et Nyboma Kanta sont venus mettre leur touche vocale et rythmique : purs instants de rumba en douze titres
Pour l'instant, dans l'entourage du fondateur de l'orchestre de l'Afrisa International, en attendant de produire les inédits au public, l'heure est à la reprise des chansons connues. Faya Tess, née Kishila Ngoyi, de sa voix grave enveloppée de velours, est la première à s'y atteler. L’idée de la reprise des classiques du Seigneur Ley est née « de Tabu Ley lui-même après l’écoute de la chanson Mongali reprise dans l’album « Désolé »…Depuis, les amis des réseaux sociaux m’ont encouragé à oser pour ... Lire la suite
La Cour d’appel de Kinshasa/Gombe a finalement tranché, le 26 décembre, en faveur du plaignant mettant un terme au long feuilleton judiciaire débuté le 1er mars 2011.
Trois ans et neuf-mois après le début de la saga judiciaire qui l’oppose à la société de télécommunications Vodacom/ Congo, Charly Kadima s’est réjoui de l’arrêt prononcé au lendemain de Noël. Il a personnellement informé, le 27 décembre, Les Dépêches de Brazzaville du jugement rendu en sa faveur. Le général manager de la corporation artistique Avalon Image nous a tout de suite confié son sentiment du moment de la sorte : « Je suis très content d’être rentré dans mes droits ». Que la Cour d’appel se range de son côté en lui reconnaissant la paternité du concept de la célèbre téléréalité Miss Vodacom est un grand motif de joie. Ce, d’autant plus qu’à présent, il ... Lire la suite
Pour célébrer en beauté la fête de la nativité, le Rotary club Libota a offert le 24 décembre des jouets et divers vivres aux enfants abandonnés et recueillis à la pouponnière. Ils ont entre 1 et 6 ans. Cet orphelinat est situé à Makélékelé dans le premier arrondissement de Brazzaville.
Ce don est composé essentiellement des voitures (jouets), sandales, habits, ballons, nounoussans oublier des jus, du riz, etc. « Nous avons pensé leur apporter ce modeste geste qui leur permettra de se mettre quelque chose sous la dent et pour qu’ils passent à merveille la fête de Noël. Ce geste n’est pas le premier. Ce lieu est devenu notre centre, nous l’avions découvert il ya de cela quatre ans grâce a un ami. Je pense que ce geste que nous avions fait aujourd’hui leur redonne le sourire et cela nous encourage aussi de faire un peu plus », a ... Lire la suite
Le ministre de la Culture et des arts, Jean-Claude Gakosso, a eu des échanges avec Valery Mikhaylov, ambassadeur de Russie au Congo. Au nombre des sujets abordés le 23 décembre figure la coopération culturelle entre les deux pays.
Pour le diplomate russe, le Congo reste un partenaire fiable sur le continent africain. Ce fut aussi l’occasion pour les deux personnalités de raffermir les relations d’amitié et de coopération existant entre leurs deux pays, en particulier dans le domaine de la culture et des arts.
Ces deux hommes ont également échangé sur les domaines à privilégier pour approfondir davantage la coopération. « Nous avions discuté concrètement de la coopération, dans le domaine de la culture et des arts, entre la Russie et la République du Congo. Nous avons aussi parlé de l’opportunité de renforcer les capacités d’industries ... Lire la suite
Voilà un court métrage bien pathétique qui n’a, en fait, rien de musical ni de vraiment harmonieux comme aurait pu le laisser supposer son titre. Il dure à peine quinze minutes mais il faut bien plus de temps pour s’en remettre.
Harmonica, ce documentaire poignant dont le récit est rendu par la voix de Déborah Basa avait fait un sacré effet sur le public à son avant-première, le 19 décembre à la Halle de la Gombe. Seconde projection après Kinshasa Sound, le film contrastait fortement avec le joyeux portrait de la ville livré par Fabrice Kalonji avec en filigrane l’histoire du hip-hop local et son incidence sur la société.
Harmonica est en fait le nom que Dorcas, le personnage central du film, avait donné à son journal intime. « Elle disait que c’était l’expression de l’harmonie, harmonie d’une vie… », nous a révélé Déborah Basa, la ... Lire la suite
C’est le 24 décembre que le journaliste Guy Mabyalhat de Télé Congo Pointe-Noire a été conduit à sa dernière demeure, au cimetière municipal de Vindoulou à Pointe-Noire. Il est décédé le 16 décembre à l’hôpital général Adolphe Sicé des suites de maladie.
Mais peu avant le départ pour le cimetière, une cérémonie d’adieu a été organisée dans l'enceinte de la télévision congolaise. Sur le visage des parents et amis se lisaient l’émotion, la tristesse et l’émoi. « C’est avec la grande émotion que je viens par devoir au nom du ministre de la Communication et des relations avec le Parlement apporter un tribut d’honneur et de respect sur la dépouille de notre cher collègue, frère, ami pour certains », a déclaré Fabien Victorien Obongo, directeur interdépartemental de la télévision Pointe-Noire, qui, dans son oraison, n’a pas ... Lire la suite
A un an de la disparition du Seigneur Tabu Ley, Faya Tess, la Sirène d'eau douce, rend hommage à l’illustre auteur-compositeur-interprète des deux rives du fleuve Congo. Pour se trouver dans la reprise des titres emblématiques de Ley, Caën Madoka et Nyboma Kanta sont venus mettre leur touche vocale et rythmique : purs instants de rumba en 12 titres
Pour l'instant, dans l'entourage du fondateur de l'orchestre de l'Afrisa International, en attendant de produire les inédits au public, l'heure est à la reprise des chansons connues. Faya Tess, née Kishila Ngoyi, de sa voix grave enveloppée de velours, est la première à s'y atteler. L’idée de la reprise des classiques du Seigneur Ley est née « de Tabu Ley lui-même après l’écoute de la chanson Mongali reprise dans l’album « Désolé »…Depuis, les amis des réseaux sociaux m’ont encouragée à oser pour ... Lire la suite
L’affiche composée de l’OK Jazz, Jeannot Bombenga, Reddy Amisi, Sampayo, Le Karmapa et du groupe Nkento Bakaji était tout ce qu’il y a de plus convenable mais les trois jours dédiés à cette manifestation censés faire la une et bouger la capitale sont passés quasiment inaperçus pour la majorité du public.
Une certitude, confiner un évènement de pareille portée au parking de la Délégation Wallonie-Bruxelles, cadre bien trop étroit et non adapté pour la circonstance faut le dire, n’a pas concouru à en révéler toute l’importance, surtout que l’ambition sous-tendue du festival Rumba Parade , comme n’ont eu de cesse de le rappeler les trois partenaires qui l’ont organisé, à savoir le Centre Wallonie-Bruxelles, l’Institut national des arts et l’agence CMCT, est « d’inscrire la rumba sur la liste du patrimoine immatériel de l’humanité ».
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Dossier-L’inexistence de salles de projection, le manque d’aide publique à la réalisation, la carence de politique de promotion, voilà entre autres les raisons qui freinent l’épanouissement du 7e art congolais tant au niveau national que mondial 50 ans après les indépendances. Bien décidée à raviver ce secteur, une nouvelle vague de cinéastes s’emploie corps et âme à en donner un coup de pousse à ce cinéma bien que peu connu mais riche et plurielle. Amour Sauveur, Sébastien Kamba, Rufin Mbou Mikima et Nadège Batou, nous donnent leurs points de vue.
Hyppolite Diayoka compte parmi les stylistes modélistes congolais de renom. Son enseigne trône désormais sur la lace de Brazzaville. Pour couronner l'inauguration qui a eu lieu le 20 décembre, un défilé de mode a été organisé dans la soirée au Palais des congrès.
Toute la collection est en soie. On y trouve des robes, des chemises et des pantalons. Certaines robes ont été conçues avec plus de 30 mètres de tissus. Les chemises ont été travaillées à la main, un choix délibéré, selon le styliste Diayoka car, dit-il : « notre travail est en même temps artistique, artisanal et intellectuel. » La collection de la Maison Hippolyte Diayoka évoque des aspects possibles et imaginatifs.
Hippolyte Diayoka a tenu à préciser que tous les clients ne trouveront pas leur compte dans cette boutique. « Parce que je ne connais pas un produit dans ce monde qui soit ... Lire la suite