Passerelle vers le chinois 2018 : soixante-deux étudiants prennent part aux épreuves préliminairesSamedi 7 Avril 2018 - 16:34 La phase préliminiare de la compétition internationale de langue chinoise organisée par le Hanban, à l’intention des étudiants étrangers, a eu lieu le 7 avril, à l’Institut Confucius de l’université Marien-Ngouabi de Brazzaville. La dix-septième édition de la "Passerelle vers le chinois" (Chinese bridge) aura bientôt lieu en Chine. La République du Congo, qui est à sa troisième participation pour avoir pris le train en route, organise les épreuves préliminaires de cette compétition. Soixante-deux étudiants de nationalité congolaise, nés et grandis au Congo, âgés de 18 à 30 ans comme l’exigent les critères, prennent part à cette présélection. Vingt seulement seront retenus pour la demi-finale qui aura lieu le 14 avril, au même endroit, avant de choisir les dix qui iront à la finale prévue pour le 28 avril. Organisée en trois phases (la présélection ou phase préliminaire, les demi-finales et la finale), la « passerelle vers le chinois » est devenue pour les étudiants étrangers un moyen important afin d'approfondir leur niveau de chinois et mieux connaître la culture chinoise. C’est aussi un bon moyen de communication entre les jeunes chinois et les étrangers. La forme pour l’épreuve préliminaire, est l’épreuve écrite (100 QCM). Comme récompenses, le champion de la « Passerelle vers le chinois » bénéficiera d’une télévision (HD) 42 pouces de Startimes, une bourse d’études de l’Institut Confucius et représentera le Congo à la finale qui aura lieu au mois de juillet 2018, en Chine. Le vice-champion et le troisième obtiendront une télévision (HD) 24 pouces de Startimes et bénéficieront d’un stage dans une entreprise chinoise au Congo. A l’issue des épreuves préliminaires, Prince Ntsiété, étudiant à l’université Marien-Ngouabi et également étudiant à l’Institut Confucius de cette université, dit avoir fait le maximum. « Je pense que je vais accéder à la demi-finale. L’an dernier, j’avais participé à cette compétition. J’étais arrivé en finale où j’avais occupé la cinquième place. Il n’y avait que les trois premiers qui étaient récompensés. Cette fois-ci, je dois figurer parmi les deux premiers », assure-t-il. Karmi Kandza, étudiant de l’Institut Confucius en deuxième année, est lui aussi à sa deuxième année de compétition. « Cette fois-ci, je compte arriver jusqu’en finale et arracher la première place. Nous avons travaillé sur la culture chinoise, les règles de la grammaire chinoise et les épreuves se sont très bien passées », se satisfait-il. Bruno Okokana Légendes et crédits photo :Photo 1 : Les directeurs de l'Institut Confucius, Antoine Ngakosso et Ly Na lançant les épreuves préliminaires
Photo 2 : Les étudiants pendant le déroulement des épreuves Notification:Non |