Culture : le ministère entend promouvoir la culture congolaise en 2014

Après avoir fait le bilan de l’année écoulée, le directeur de cabinet du ministre de la Culture s’est réjoui des résultats et orienté 2014 autour de grands événements culturels. « Au cours de l’année vous avez donné le meilleur de vous-même : par l’organisation du grand prix du chef de l’État des arts et des lettres ; les belles prestations du ballet national en Afrique du Sud et en Pologne ; la participation du ministère au Salon du Livre de Paris ; le lancement du projet de construction de la Cité africaine des arts de la mémoire (Citam) avec l’architecte français Jean-Marc Vilmotte ; la participation au colloque sur le rôle et l’importance du roi Djoya dans l’historiographie africaine moderne ; les grandes avancés dans le domaine du patrimoine à travers les différentes activités pour le classement de Mbé sur la liste du patrimoine mondial ; la célébration de la 18^e Journée mondiale du livre a rapproché nos écrivains des élèves, étudiants », a déclaré Célestin Akoulafoua-M’voula.

En vue de perpétuer ces actions, il est d’abord prévu une formation et le renforcement des capacités au niveau du personnel du ministère de la Culture, des activités qui devront se faire de manière permanente. Des focus annuels sur la peinture, la sculpture, la céramique, sur les archives de la nation, sur les arts culinaires et traditions congolaises, pourront par ailleurs être organisés. La Journée mondiale du livre et du droit d’auteur ; la 3^e Journée du jazz ; le 3^e Salon des industries culturelles ; la Fête de la musique ponctuée par le carnaval des sapeurs ; les Ciseaux d’or de la mode ; le Prix d’excellence des arts et des lettres ; les Journées nationales de la cinématographie, sont également projetées en 2014.

« Au cours de cette année nous prenons l’engagement de tout mettre en œuvre pour renforcer notre dispositif juridique, et l’engagement de mieux travailler pour que les collaborateurs se rendent bien compte que le travail n’est pas facile, mais exigeant et responsabilisant », a conclu Célestin Akoulafoua-M’voula.