Les raëliens traitent du « Vivre dans le bonheur »Mardi 7 Octobre 2014 - 17:22 Ils se sont retrouvés dans un hôtel de la place à Pointe-Noire en week-end pour organiser une conférence-débat sur le thème, « Vivre dans le bonheur » où le message du prophète Raël sur le politique, l’économique, le culturel, le scientifique et le religieux a été livré aux nombreux invités et participants. En abordant la question politique, l’orateur raëlien pense qu’il est temps de créer ce qu’il appelle par les RUK ou Royaumes Unis de Kama. Projet, selon lui qui consisterait en la suppression des frontières artificielles créées de toutes pièces pour mettre en place des micro-États fédérés appelés Royaumes Unis de Kama ( Kama est l’appellation authentique de l’Afrique). Cela donnera une place non négligeable aux Rois, Reines et aux Chefs traditionnels. Parlant de l’économique et du culturel, les raëliens souhaitent d’une part la création d’une monnaie unique africaine que l’on appellera par le « kamo » tout en envisageant la suppression des taxes douanières et d’autre part aller à la recherche des racines et traditions kamites autrement dites africaines. Sur le scientifique et le religieux, le souhait pour les raêliens est de voir adopter immédiatement les sciences et technologies du futur, notamment les OGM, le Clonage, l’Internet et la Nanotechnologie afin de réaliser un progrès véritable de l’Afrique. Et du message du prophète Raël, on retient selon l’orateur que, « toute vie sur terre, y compris l’homme, fut créée scientifiquement en laboratoire grâce à une maitrise parfaite de l’ingénierie génétique et de l’acide désoxyribonucléique par ce peuple extraterrestre ». Après quoi, une phase de questions-réponses a alimenté la conférence-débat où l’on a noté des réactions de bon nombre d’intellectuels et participants ce qui laisse à croire l’intérêt suscité par cette retrouvaille à la fois religieuse et scientifique. Notons que la religion Raëlienne compte environ 80.000 membres, répartis dans 90 pays. Séverin Ibara
Séverin Ibara Légendes et crédits photo :Photo Adiac: la tribune officielle de la conférence-débat |