Dotation : remise des jeeps au PNLT et PNLP

Le Programme national de lutte contre la tuberculose (PLNT) représenté par son directeur adjoint, le Dr Serge Bisuta, a reçu au total quinze  jeeps et vingt-sept motos dans le cadre de la mise en œuvre des activités contenues dans la note conceptuelle unique de tuberculose-VIH-sida 2015-2017 signée entre le gouvernement de la RDC par l’entremise du ministère de la Santé publique et le bailleur de fonds mondial. 

Les clés de ces jeeps ont été remises par le secrétaire exécutif de Caritas-Congo, le Dr Bruno Miteyo,  au ministre de la Santé publique,  le Dr Félix Kabange Numbi, qui, à son tour, les remettra au secrétaire général à la santé publique. Celui-ci les remettra au directeur adjoint du PNLT, le Dr Serge Bisuta.

Pour le directeur adjoint du PNLT, c’est donc un motif de courage et de joie. Ces jeeps, a-t-il dit, sont très utiles pour le travail sur le terrain en termes de supervision, de visite et même de transport de médicaments et  autres intrants dans les provinces.

Pour le secrétaire exécutif de Caritas-Congo, le Dr Bruno Miteyo, la remise de ces jeeps est une réponse positive que le gouvernement vient de donner aux besoins ressentis dans les différentes  provinces du pays  et au niveau national. « Je ne peux que me réjouir parce que ces outils  vont répondre au problème qui se pose sur le terrain », a-t-il reconnu.

 Le  programme national de lutte contre le paludisme (PNLP)  est le deuxième programme  à bénéficier de la dotation du Fonds mondial.  Ce programme a réceptionné à travers  son directeur, le Dr Joris  Losima, dix-huit jeeps pimpantes neuves  destinées au niveau central et provincial et une jeep  au CCM.  Le ministre de la Santé publique a remis les clés de ces jeeps au secrétaire général à la Santé qui à son tour les a remises au directeur du PNLP, Joris Losima.   Les deux directeurs de ces programmes ont promis un bon usage de ces jeeps pour renforcer la surveillance de la maladie. «  Cette dotation vient  renforcer les capacités tant du niveau national que provincial pour leur permettre de se rapprocher des chefs de zones  de santé et des infirmiers qui soignent  les malades au quotidien de manière à leur apporter conseil pour des soins de qualité », a-t-il indiqué.