Projet Lisungi : l’Unicef contribue au renforcement des capacités des acteurs sociauxMardi 5 Juillet 2016 - 18:30 La représentante adjointe du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) au Congo, Christine Naré Kaboré a signé le 5 juillet, un accord avec la ministre des Affaires sociales, de l’action humanitaire et de la solidarité, Antoinette Dinga Dzondo dans le cadre du projet Lisungi-système des filets sociaux
Le coût de prestation s’élève à 326.580.000 francs CFA, dont 83 millions F CFA de contribution de l'Unicef. Peu avant la signature de l’accord, le coordonnateur du projet, Alfred Constant Kiakouama explique que le projet est le fruit de la convention signée en août 2015, entre le gouvernement du Congo et l’Agence française de développement (AFD) au terme de laquelle, il apporte au projet un financement additionnel d'un peu plus de cinq millions de francs CFA. Il a en outre indiqué : « ce financement doit permettre l’extension du projet Lisungi dans quatre nouvelles localités dans sa phase pilote. Il s’agit des arrondissements 7 Mfilou, 8 Madibou et 9 Djiri à Brazzaville et l’arrondissement de Loandjili à Pointe-Noire. Grâce à ce financement additionnel par l’Agence française de développement, le projet Lisungi va couvrir 3.503 nouveaux ménages et 1.204 personnes âgées avec les premiers ménages issus de la convention avec la Banque mondiale, le nombre total de bénéficiaires sera de 10.707 établis dans onze localités ». Pour l’Unicef, leur soutien est orienté dans le domaine des pratiques familiales essentielles, la communication pour le développement, le travail social, le suivi de conditionnalités et l’organisation des campagnes de sensibilisation sur le registre social unifié. Au terme de l’accord, la ministre Antoinette Dinga Dzondo a invité l’Unicef à contacter le ministère en cas de besoin avant de demander que le travail soit fourni dans un temps record. La représentante Christine Naré Kaboré a pour son compte, assuré de la disponibilité de l’Unicef à pouvoir travailler afin d’atteindre les résultats. « Nous avons mis en place des mécanismes et défini le rôle de chaque équipe pour accompagner ce projet qui contribue à l’amélioration des populations les plus vulnérables et à la réduction des iniquités qui existent dans tous les pays dont le Congo n’est pas épargné », a-t-elle conclu. Lydie Gisèle Oko Légendes et crédits photo :Echange des parapheurs entre la ministre et la représentante (crédit-adiac) Notification:Non |