Parution : l’IRDH annonce le retour de son bulletin physique

Mercredi 7 Février 2018 - 18:00

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Pour  l'association à but non lucratif, la décision répond au besoin des lecteurs qui ne sont pas dans les médias sociaux.

 

L’Institut de recherche en droits humains (IRDH) a annoncé, le 6 février, la parution du « Bulletin mensuel d’information et d’éducation aux droits humains », de janvier 2018, en papier dur. À en croire  cette association, ce format, publié aussi sur le site de l’Institut, paraissait depuis juin 2014 et a été interrompu, en décembre 2016, au profit de la version électronique sur le site www.irdh.co.za, par emails, sur Facebook https://www.facebook.com/www.irdh.co.za, LinkedIn, Tweeter, WhatsApp et Youtube. L’IRDH motive cette décision par le souci de répondre au besoin des lecteurs qui ne sont pas dans les médias sociaux.

Deux articles intéressants

À en croire l'ONG, le numéro 001 de janvier 2018 annoncé contiendrait, outre la présentation de l’IRDH et la Déclaration universelle des droits de l’homme, deux articles intéressants. Il s’agit, a précisé l’institut, de « L’accès équitable à l’internet en RDC, la part des entreprises de télécommunication » ainsi que de « Prestation de l’avocat pour compte et au nom d’un membre de sa famille ».

Le premier papier, a précisé l’IRDH, soulève la problématique de la nécessité indiscutable de l’accès à l’internet, pour un développement durable à l’horizon 2030, face aux défis liés notamment au coût, au faible taux de pénétration et à la politique du gouvernement congolais. Alors qu’une proposition y est aussi faite aux entreprises de participer, comme organes de la société congolaise, à rétablir l’équité, en créant des points d’accès gratuits, au profit des universités et centres de recherche. Le second papier, quant à lui, participe au débat entre avocats. Peut-on prester pour un membre de sa famille ? C’est la question principale à laquelle l’article tente de répondre. Il analyse les arguments des deux camps opposés, du oui et du non ; il donne des exemples des barreaux qui sont dans les deux camps et conclu que l’avocat devrait être jugé en fonction de la loi qui a la primauté sur les usages non écrits, au vu des faits et de son serment.

Lucien Dianzenza

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