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Maimouna Coulibaly : « Dès que je le peux, je me rapproche de mes racines »Lundi 3 Mars 2014 - 1:30 Fraîchement débarquée de San Francisco, la danseuse Maimouna Coulibaly nous dévoile ses secrets pour réussir dans le milieu artistique tout en restant fidèle à ses convictions. Fondatrice du mouvement la booty-thérapie et créatrice du spectacle Hééé Mariamou, Maimouna n’a pas le temps de chômer. C’est en trois questions clés qu’elle revient sur sa production, les femmes noires dans ses cours et son lien avec son pays d’origine, le Mali Les Dépêches de Brazzaville : Votre spectacle est unique dans son genre : il mélange le quotidien des enfants de parents immigrés avec des prestations artistiques. Comment avez-vous eu cette idée de mise en scène ? LDB : La féminité des femmes noires peut être vue comme un atout ou être complètement non assumée. Dans vos cours, recevez-vous beaucoup de femmes noires qui ne sont pas à l’aise avec leur corps ? LDB : Vous êtes un personnage public de la scène francophone et vous savez le rendre à votre pays d’origine en l’aidant lors des différentes crises. En ressentez-vous le besoin ?
Propos recueillis par Grâce Loubassou Légendes et crédits photo :Maimouna Coulibaly pendant un tournage de clip pour Black Bazar. © Caroline Blache
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