FAC : la DGAF présente son nouveau centre autonome de décompte de la solde

Couplé à la présentation du logiciel de solde par le commissaire en chef de 2^e classe Alain Adnot, conseiller du directeur général de l’administration et des finances, chef du projet « gestion administrative et financière », l’événement a été ponctué par la visite des locaux et la présentation dynamique du calculateur de solde. La cérémonie s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de France au Congo Jean-Pierre Vidon.

En effet, ce centre s’articule autour d’un bâtiment moderne de type (R+1), spécialement aménagé en vue d’offrir les meilleures conditions de travail aux équipes techniques mises en place. Sa construction a coûté la somme de 313,8 millions de FCFA, imputée sur le budget d’investissement du ministère de la Défense nationale ; d’un équipement informatique de très bonne qualité, avec des performances techniques de haut niveau, permettant d’accomplir les différentes opérations de manière efficace et sécurisée. Son coût, comprenant la conception du logiciel et l’acquisition des équipements et matériels associés, est évalué à 151,5 millions de FCFA, également imputés sur le budget d’investissement du ministère de la Défense nationale.

« Ainsi, après trois années d’efforts suivis et de volonté acharnée, ce centre à travers son infrastructure physique et électronique, représente non seulement une avancée concrète, tangible du projet « GAF », mais surtout un enjeu majeur pour le ministère de la Défense nationale dans sa stratégie d’amélioration et de renforcement de la gouvernance administrative en son sein. Par ailleurs, sa mise en place vise à rationaliser la gestion des soldes et des diverses rémunérations des militaires et gendarmes », a déclaré en substance le commissaire général de brigade, directeur général de la DGAF, Ambroise Mopendza.

Enfin, il a aussi rappelé que pour le ministère de la Défense nationale, le CADS, se veut un élément important de prospective, préparant le basculement dans les meilleures conditions vers la mise en œuvre des budgets programmes prévus au 1^er janvier 2020, conformément à l’article 107 de la loi du 3 septembre 2012 portant loi organique relative au régime financier de l’Etat.