Formation : Hugues Ngouélondélé promet de soutenir le CESDJeudi 2 Novembre 2017 - 17:45 Le ministre des Sports et de l’éducation physique a visité, le 2 novembre, les installations du Centre d’études et sport La Djiri (CESD) implanté à la sortie nord de Brazzaville. Il a décidé d'appuyer ce centre privé dans sa mission principale de faire éclore des jeunes footballeurs talentueux congolais. « Partout où le sport veut bien marcher, le ministre des Sports va faire attention. C’est vrai qu’on n'y peut rien faire sans moyens. Il faut trouver les moyens et voir ce qu'il y a à faire. De toutes les façons, investir dans ce centre ce n'est pas de l'argent jeté. Nous investissons pour la jeunesse. Donc, c’est utile », a assuré le ministre des Sports au promoteur du CESD, Dieudonné Bénito Amouzoud. Au cours de la visite, Hugues Ngouélondélé a été séduit par les installations dont dispose le centre. Il possède, entre autres, 3 dortoirs, 50 lits gigognes, 4 terrains de jeu (basket, handball, tennis, volleyball), 8 salles de classe, 1 salle de musculation et 1 terrain synthétique de football. Benito Amouzoud a, d’ailleurs, fait part au ministre de son intention d’étendre le terrain de football sur les autres 10 mètres de l’espace réservé au CESD en vue de construire un second stade. Le but est de faire progresser les différentes catégories. Créé en novembre 2009 par la Fondation Rêves de Gosse, le CESD assure la détection des jeunes talents parmi les pensionnaires en vue de leur recrutement. Le pôle sportif, précise le promoteur du CESD, s’appuie sur les principes de formation de la Fédération française de football. Vincent Rautureau a joué un rôle clé afin de permettre à ce centre de franchir un palier. Le CESD a participé à plusieurs tournois internationaux à l’étranger. A titre de rappel, ses pensionnaires ont été classés 3e au Future champions Gauteng en Afrique du Sud en 2014 avant de remporter, la même année, le tournoi international de Reze en battant SCO Angers (1-0). Ce centre a formé des internationaux dont Durel Avounou qui évolue actuellement en ligue 1 française dans le Stade Malherbe de Caen. «M. Amouzoud ne doit pas être un électron libre. Il travaille avec nous. Ce centre est un bien privé, mais ça concerne le sport de façon générale . Nous sommes venus voir ce que nous pourrons éventuellement faire ensemble pour que ce centre puisse reprendre vie », a déclaré le ministre.
James Golden Eloué Légendes et crédits photo :Le ministre Hugues Ngouélondélé et M. Amouzoud, le promoteur du CESD (Adiac). Notification:Non |