Sécurité aérienne: le ministre Adada appelle les différents acteurs à plus de responsabilitéLundi 8 Décembre 2014 - 18:37 Cette invite du ministre des Transports, de l’aviation civile et de la marine marchande, Rodolphe Adada, a été faite à l’occasion de la commémoration de la Journée de l’aviation civile internationale, célébrée le 7 décembre à Brazzaville. Le thème retenu pour cette année est : «Coopération pour l’avancement de l’aviation mondiale, célébration de du 70e anniversaire de la convention de Chicago». A cet effet, le ministre des Transports, de l’aviation civile et de la marine la marchande a délivré un message dans lequel il a brossé le tableau de la situation de l’aviation civile au plan national. En effet, le patron des transports a invité tous les acteurs aériens œuvrant au Congo à plus de prudence et de responsabilité dans leur exaltante mission. «A l’occasion de cette journée, j’invite tous les acteurs du secteur aérien à prendre conscience de la responsabilité qui est la leur, en vue de participer au développement et à la protection de l’aviation civile, dans le respect des normes et pratiques recommandées de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) », a souligné le ministre d’Etat, . Rodolphe Adada, qui milite pour le développement du secteur aérien congolais, a tenu à rappeler les efforts que le gouvernement ne cesse de consentir afin de développer ce secteur. Des efforts qui selon lui, se traduisent entre autres, par la construction et la modernisation de plusieurs infrastructures aéroportuaires sur l’ensemble du territoire national. Cette action gouvernementale a d'ailleurs permis au Congo de sortir depuis quelques temps, du site de sécurité de l’Organisation de l’aviation civile internationale. Délivrant le message au nom du secrétaire général de l’OACI, en ce jour anniversaire, le directeur des Transports aériens, Boris Makaya Batchi s'est appesanti sur la nécessité, pour chaque Etat, de travailler avec objectif afin de relever leurs étendards. «C’est donc un défi lancé en ce 70e anniversaire, tant aux Etats qu’aux compagnies désignées. Il revient donc aux exploitants aériens de s’en charger de la mise en œuvre des principes arrêtés par les Etats, de faire en sorte que l’étendard de chaque pays soit placé très haut», a-t-il conclu. Firmin Oyé |