Journée mondiale de la météorologie : la responsabilité est collective au sujet du changement climatique

Le ministre des Transports, Rodolphe Adada, a réaffirmé le 21 mars l’engagement du Congo dans toutes les initiatives mondiales visant à réduire le changement climatique et à s’y adapter. En effet, le changement climatique touche tous les secteurs socioéconomiques. Il a une incidence sur les ressources vitales et compromet le développement durable dans tous les pays. « Le coût de notre passivité est élevé, et le sera encore plus si nous n’agissons pas immédiatement et avec détermination », a déclaré Rodolphe Adada.

Déjà, avec l’évolution de la technologie, les informations sur le temps et le climat ne cessent de gagner en fiabilité. Selon le ministre, cette meilleure compréhension est un pas de plus pour tous les acteurs concernés afin d’atteindre un niveau raisonnable d’effets néfastes lié au changement climatique.

« La mise en commun des expériences en matière de conception et d’utilisation des services climatologiques peut servir à mettre en avant les meilleures pratiques et aider les pays à s’adapter plus rapidement au changement climatique », a souligné le ministre d’État.

Le gouvernement du Congo, de son côté, a pris l’option de développer les capacités nationales sur le climat, à travers le projet de création d’un observatoire du climat et de l’environnement pour optimiser l’exploitation des données d’observation de la Terre. Ce projet prend aussi en compte les thématiques de la météorologie, de l’hydrologie, de la marine et de l’environnement. Autre fait, le Congo appuie le renforcement des capacités de la météorologie en la dotant des moyens appropriés pour accomplir ses missions.