Fédérations sportives nationales : les présidents réélus sans suspense…

Jean Claude Mopita réélu au volleyball

L’unique candidat à sa succession, comme ceux des autres Fédérations précitées, Jean Claude Mopita a bénéficié de la confiance renouvelée des volleyeurs qui lui ont accordé quatre ans de temps additionnel. Il présidera donc aux destinées du volleyball congolais jusqu’en 2020, année de la fin de l’olympiade qui vient de commencer. Dévoilant les actions à mener pour ce troisième mandat, Jean Claude Mopita a promis organiser les états généraux du volleyball congolais. Un travail qui selon lui, permettra d’identifier les goulots d’étranglement afin de proposer des solutions aux différents problèmes auxquels la discipline est confrontée. La création des centres de formation des jeunes (filles et garçons), l’implantation du volleyball en milieu scolaire font partie des priorités inscrites dans l’agenda du président réélu. « Nous avons beaucoup fait et beaucoup restent à faire pour propulser davantage le volleyball », a déclaré Jean Claude Mopita, qui s’est dit satisfait des performances du mandat écoulé avec à la clé la médaille d’argent de l’équipe nationale masculine aux onzièmes Jeux africains.

Jean Samba réélu à la Boxe des pharaons

Le rénovateur de la boxe des pharaons brigue un second mandat à la tête de la fédération née lors de l’olympiade passée, puisque la discipline a été longtemps affiliée à la Fédération congolaise de Karaté et arts martiaux affinitaires en qualité d’association sportive. Quatre ans de plus sont accordés à Jean Samba pour poursuivre l’œuvre amorcée. « Nous allons continuer la vulgarisation de la discipline non seulement au niveau national mais aussi au plan international », a expliqué Jean Samba. La Fédération congolaise de Boxe des pharaons rénovée veut participer aux échéances sportives en tant que sport de compétition et non de démonstration comme ce fut le cas lors des onzièmes Jeux africains. Pour cela, il faudrait que la discipline soit pratiquée au moins dans cinq pays. D’où la nécessité de sa vulgarisation au-delà des frontières nationales.

Stève Kouma réélu au Wushu

A la tête de la Fédération congolaise de Wushu depuis deux ans, Stève Kouma a été reconduit à la présidence de cette discipline. Vulgariser davantage ce sport, est l’une des actions qu’il mènera. Un accent particulier sera par ailleurs mis sur la formation des athlètes, afin de constituer une équipe nationale compétitive puisqu’en 2017, le Congo pourrait participer à la coupe du monde du Wushu en Chine.

A l’escrime, sans surprise, le président Albert Kaya a été réélu pour un troisième mandat.