Politique
La question a été au centre de l'entretien entre le président de la chambre haute du Parlement, Pierre Ngolo, et la représentante de la FAO au Congo, Suze Percy Filippini, le 27 novembre à Brazzaville.
L’idée est d’appuyer les deux chambres du Parlement congolais dans la mise en place d'une alliance en vue d’un travail de sensibilisation. Cette alliance a pour mission de faire le plaidoyer pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle auprès des mandants. « Nous voulons accompagner le Parlement du Congo dans cette démarche d’élaborer un partenariat entre les deux chambres avec les agences du système des Nations unies, notamment la FAO, l’Unicef et le PAM », a déclaré Suze Percy Filippini. Une occasion également pour les parlementaires de faire de cette question une thématique importante dans leurs échanges avec les mandants, a-t-elle ajouté.
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Venu inaugurer le nouveau bâtiment de l'ambassade de Belgique dans la capitale congolaise, le vice-Premier ministre de ce pays, chargé des Affaires étrangères, s'est fait huer, le 27 novembre, par un groupe de jeunes « lumumbistes » qui tiennent la Belgique pour responsable de l’assassinat du tout premier Premier ministre congolais.
Journée chaude et fortement agitée que celle qu’a vécue à Kinshasa Didier Reynders. La visite du vice-Premier ministre belge des Affaires étrangères, communiquée la veille par l’ambassade de la Belgique en République démocratique du Congo (RDC), est passée presque inaperçue contrairement aux usages. L’officiel belge, venu expressément mettre en service la nouvelle ambassade de son pays érigée sur le prolongement du boulevard du 30-Juin, n’a pas eu droit à un accueil digne et amical de la part des autorités congolaises.
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Les assises ont eu lieu le 26 novembre, à la case de la ville, et ont permis aux participants d'examiner, entre autres, la fiche synthèse des activités du secrétariat fédéral exercice 2017, la feuille de route des activités du secrétariat fédéral pour le prochain exercice ainsi que le projet de budget prévisionnel de la fédération.
Les travaux ont été ouverts par Victor Foudi, président du conseil fédéral du Parti congolais du travail (PCT) de la ville océane, après l'observation par tous les participants d'une minute de silence en mémoire de tous les militants du parti décédés cette année. Le président fédéral a remercié sa hiérarchie pour l'oreille attentive qu'elle a toujours prêtée à l’expression de la base, tout en formulant des vœux de réussite au secrétaire général, Pierre Ngolo, élu à la tête de la chambre haute du Parlement.
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Habitué aux affrontements récurrents à l’intérieur de son camp, le Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement est au bord du précipice, miné par des divisions internes qui l’ont davantage affaibli et relativisé ses chances en perspective de prochaines joutes électorales.
Depuis le 5 novembre, le calendrier électoral tant réclamé par l’opposition et la communauté internationale est disponible. Il a le mérite de fixer, de manière claire, un échéancier en rapport avec les opérations électorales restantes jusqu’à la tenue, en décembre 2018, des scrutins présidentiel et législatifs. Plutôt que de soutenir un tel chronogramme tendant à offrir au pays la chance de négocier un passage pacifique du pouvoir via des élections réellement démocratiques, l’opposition est dans un autre schéma, celui de la déstabilisation et de ... Lire la suite
Une vingtaine de personnes membres de la plate-forme dirigée par Claudine Munari a été interdite de manifester, le 27 novembre, au rond-point Moungali, dans le 4e arrondissement de Brazzaville, par la police qui a fait usage des gaz lacrymogènes.
Munis d’une banderole sur laquelle on pouvait lire : « Débout pour la libération du Pool et des prisonniers politiques », les participants à la marche ont été conduits par la présidente du groupement ploitique de l’opposition congolaise, Claudine Munari, qui avait à ses côtés Jean-Baptiste Bouboutou-Bemba et Clément Mierassa. En effet, les manifestants sont arrivés au rond-point Moungali aux environs de 11 h 00 et y ont passé plus de 20 mn.
Après avoir perturbé la circulation pendant près d’une vingtaine de minutes, les manifestants ont été dispersés par la police. Ils exigeaient, entre autres, la libération ... Lire la suite
En visite dans le continent, plus précisément au Burkina Faso, en Côte d'Ivoire et au Ghana, du 27 novembre au 30 novembre, le président français parlera d'entrepreneuriat, d'éducation, de politique de jeunesse et d'énergies renouvelables.
Au Burkina Faso, première étape de sa tournée africaine, le président Emmanuel Macron y prononcera un discours sur son "approche de l'Afrique" devant les étudiants de l'université de Ouagadougou. Ce pays a la particularité de compter une jeunesse politisée qui n'a pas une bonne perception de l'image de la France, depuis la mort du président Thomas Sankara en passant par son "soutien" au président déchu, Blaise Compaoré. Il visitera ensuite une centrale solaire,
L'homme d'Etat français ambitionne d'améliorer l'image de son pays au Burkina Faso et en Afrique. L'Elysée semble conscient que l'influence française est en recul en ... Lire la suite
Alors qu’il devrait se rendre à Barcelone en Espagne, où il était attendu au Conseil de l’International socialiste, le secrétaire général du parti de feu Etienne Tshisekedi s’est vu empêché d’embarquer dans son vol par les services commis à l’aéroport international de N’djili.
Situation assez rocambolesque que celle qui est arrivée à Jean Marc Kabund, secrétaire général de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) empêché par les services d’immigration commis à l’aéroport international de Ndjili de voyager à l’étranger. Alors qu’il devait prendre son vol le 24 novembre, pour se rendre en Espagne afin de participer au Conseil de l’International socialiste dont son parti, l’UDPS, est membre, Jean Marc Kabund a été surpris par la réaction inattendue des agents de la Direction générale de migration qui se sont interposés ... Lire la suite
Le tribunal militaire de garnison de Kinshasa Gombe a ouvert, le 24 novembre, le procès des présumés miliciens Kamuina Nsapu, auteurs de nombreux attentats dans la capitale.
C’est tambour battant que le procès des présumés membres du mouvement politico-religieux Kamuina Nsapu a débuté, le 24 novembre, à la Cour d’ordre militaire à Kinshasa. Un procès longtemps attendu étant donné que les personnes poursuivies sont tenues responsables des faits criminels ayant ensanglanté la capitale entre mai et juin derniers. Ils étaient au nombre de trente-six, les prévenus qui se sont présentés devant le tribunal accompagnés de leurs avocats. Dans le lot, Ben Tshimanga wa Tshimanga présenté par la police comme le cerveau-moteur de toutes les attaques perpétrées à Kinshasa. On y retrouve aussi deux policiers ainsi qu’un militant de l’Union pour la démocratie et le ... Lire la suite
Tenant compte de la situation dramatique dans laquelle vivent leurs compatriotes sur fond de crise sociopolitique, les prélats ont décidé d’adresser au peuple dont ils ont la charge un message d’orientation pastorale assorti des directives claires.
Débutés le 22 novembre, les travaux de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cénco) sur la situation socio-pastorale du pays marquée par la crise électorale qui perdure se sont clôturés, le 24 novembre, au Centre Caritas à Kinshasa. Des travaux d’une extrême importance qui ont permis aux évêques de décortiquer la crise politique qui prévaut dans le pays, tout en scrutant des pistes de solution. Mais là où d’aucuns attendaient les hommes de Dieu, c’était sur le calendrier électoral publié le 5 novembre par la Céni dont le point d’orgue demeure le report des élections en décembre 2018. Là-dessus, ... Lire la suite
Une délégation des opérateurs économiques nationaux, conduite par leur président, El Hadj Abdoulaye Djibril Bopaka, a fait part, le 24 novembre à Brazzaville, de leurs doléances à la chambre haute du Parlement face à la détérioration inquiétante de leurs activités.
Dans son exposé, le président du patronat congolais a dressé un tableau préoccupant de la situation des opérateurs économiques congolais dont l'effectif est passé de 16 000 en 2015 à 2700 aujourd'hui et cela, dans tous les secteurs d’activités confondus. Ceci, a-t-il souligné, pour des raisons touchant d’abord la politique économique intérieure.
« Notre préoccupation, c’est la conjoncture macroéconomique du pays vis-à-vis de la crise qu'il traverse. Vous le savez, en tant que fils du pays, garants des acteurs économiques, nous ne pouvons pas rester indifférents de ce qui se passe. Nous ... Lire la suite