Une belle présence congolaise aux Francophonies en Limousin
Cantate de guerre, texte de Larry Tremblay, mise en scène Harvey Massamba, avec Harvey Massamba, Jean-Louis Ouakabaka, Jaurès Gamba, Simon Winsé. Dans un contexte spatio-temporel non défini, un père apprend à son fils à devenir soldat. Sur un texte québécois et une mise en scène congolaise, cette pièce pose une réflexion et une psychanalyse du poids de la guerre sur ses acteurs. Kung-Fu, texte, mise en scène et jeu Dieudonné Niangouna. Dieudonné Niangouna raconte son cheminement humain et artistique : « Des films. Et il y avait de tout. Absolument tout. Papa était un homme complet. Achevé. Un grand amateur de kung-fu. Il me disait : “Adé, toi, je t’enverrai en Chine pour aller apprendre le kung-fu au temple Shaolin. Et à ton retour, au Congo, après que tu auras rapporté tes cinq dan de kung-fu et une ceinture noire, je te produirai, M’appelle Mohamed Ali, texte : Dieudonné Niangouna (Éditions Les Solitaires intempestifs), mise en scène et scénographie Jean Hamado Tiemtore, Jeu Etienne Minoungou. Étienne Minoungou et Dieudonné Niangouna brossent le portrait d’un « combattant » africain, les victoires et les défaites au quotidien, la résistance. La pièce met en scène le célèbre boxeur et ses combats, sur le ring, politique, éthique. M’appelle Mohamed Ali a fait l’objet d’une tournée mondiale. Au-delà, chorégraphie : DeLaVallet Bidiefono, texte : Dieudonné Niangouna. Danseurs : Flacie Bassoueka, DeLaVallet Bidiefono, Ingrid Estarque, Ella Ganga, Nicolas Moumbounou, Destin Bidiefono. DeLaVallet Bidiefono dépeint la Brazzaville d’aujourd’hui à travers ses sonorités, ses humeurs, ses mouvements, dans un ballet plaçant la musique et le théâtre au cœur de la danse. En savoir plus sur le festival des Francophonies en Limousin sur le site de l’événement : Lesfrancophonies.fr. Morgane de Capèle |