ITIE : la société civile sensibilisée à la gestion des recettes des matières premières
« Nous avons besoin d’une société civile qui comprenne avec beaucoup de perspicacité les différents problèmes liés à la gestion des recettes issues des industries extractives. Elle doit apporter sa pierre à l’édifice en faisant des propositions constructives », a indiqué Florent Michel Okoko, directeur exécutif de l’Itie. Le renforcement des capacités de cette classe sociale, devra contribuer à ce que les retombées de l’exploitation des matières premières extractives permettent l’émergence des Etats membres de la Cémac et l’amélioration des conditions de vie des populations, indique une note conceptuelle relative à cette formation. Insistant sur l’importance que revêt cet atelier, le représentant des pays de la Cémac, Alfred Placide iloki, a précisé qu’actuellement la Cémac est en pleine mise en œuvre du programme économique régional, un vaste chantier qui nécessite la participation de tous les acteurs économiques, de la société civile, des gouvernants et des gouvernés en vue de l’émergence de la sous-région à l’horizon 2025. Rappelons que c’est en 2008 que la commission de la Cémac avait signé un accord-cadre avec le ministère Allemand de la Coopération. Ce partenariat a donné lieu à l’élaboration du Projet de renforcement de la gouvernance des matières premières pour la sous-région. Lopelle Mboussa Gassia Légendes et crédits photo :La société civile Congolaise et Tchadienne à l'ouverture de l'atelier |