7e art : appel à candidatures pour un atelier sur la critique cinématographique

Si la condition sine qua non pour répondre à cet appel stipule qu’il faut «  être journaliste de profession », il est en plus exigé à toute personne intéressée de soumettre un dossier de candidature au bureau de Bimpa Production. Il s’agit en premier lieu, précise-t-on, d’ « un curriculum vitae, de deux photos passeport et d’une lettre de motivation ». À ces documents qui permettront une nette identification du postulant, il faut joindre obligatoirement « différentes références sur le travail du candidat », indique l’organisation. Aussi, selon que son domaine d’exercice relève de l’audiovisuel ou de la presse écrite ou en ligne, etc., l’on fera parvenir notamment, « au plus tard le 10 novembre 2013 à 16h30, des photocopies de coupures de journaux, du courrier mentionnant des liens Internet, des support DVD ou cassettes d’émissions ». Le dossier ainsi détaillé est à expédier au bureau de Bimpa Production à l’adresse suivante : «  avenue Salvias, N° 445, Limete 7^e rue, point de référence, le ministère Amen ».

Légitimes, les objectifs du prochain atelier sont de quatre ordres. En effet, la formation d’Olivier Barlet à destination des journalistes passionnés de cinéma aura pour but primordial de les « former au métier de la critique cinématographique ». Par ce biais, le journaliste français, expert en critique du cinéma africain, entend créer « un réseau de critiques actifs et capables d’accompagner les œuvres cinématographiques congolaises ». Chose qui devrait offrir, ou encore « permettre une large visibilité du cinéma congolais au travers d’émissions radio et télé, d’articles que publieront les futurs critiques ». En dernier ressort, le cinéaste congolais en seraient les plus gros bénéficiaires. Assurément, ils y trouveraient un retour du fait qu’auprès des journalistes désormais outillés, ils auront un cadre propice d’échange et seront en contact avec un large public.

Par ailleurs, l’organisation dit rester à l’entière disposition de toute personne désireuse d’avoir de plus amples informations sur le sujet quitte à la contacter aux numéros téléphoniques suivants : 099 992 64 52 ou 081 925 89 46.