Ils ont dit...

Diaspora : Edith Itoua

« Depuis 2013, la municipalisation accélérée a été une occasion de renforcer notre unité nationale, une opportunité pour les Congolais de l'étranger, à travers le collectif des Congolais de France, de montrer leur attachement à la nation congolaise en participant au développement des départements du Congo par des projets socio-culturels et économiques qui ont bénéficié de l'apport de tous. » 

« De Djambala à Ouesso, servant d’interface entre l’Etat et le Collectif des Congolais de France, le Département des congolais de l'étranger à la Présidence de la République s’est déployé, dans la limite de ses missions, à chaque édition pour faciliter cette interaction. »

« Nous saluons ici les initiateurs de ce collectif en la personne de Roch Okouele et, surtout, nous félicitons le président de la République Denis Sassou N’Guesso qui a été à la base de la municipalisation accélérée des départements du Congo" ».

Roch le Prince Okouele, initiateur du Collectif des Congolais de France

« Le vivre ensemble » est le leitmotiv ayant permis à Roch le Prince Okouele de rappeler à ses compatriotes de France d’avoir un regard vers leur pays d’origine à l’occasion des festivités de l’indépendance depuis 2013

En 2013, lors des festivités du 53^ème anniversaire de l’indépendance du Congo, Roch le Prince Okouele, régulièrement établi en France, a eu l’idée patriotique de participer aux efforts consentis par l’Etat congolais pour la municipalisation accélérée du département des Plateaux en associant les Congolais de France. Ainsi aura été créée la Délégation des Congolais de France en sigle DCF.

Pour Roch le Prince, natif du département des Plateaux en tant que chef de la délégation, aller à Djambala en délégation était une des meilleures contributions à l'initiative de construction nationale entreprise par le gouvernement congolais. Une trentaine de personnes avait effectué le déplacement. « Nous avions eu l’appui du Département de Congolais de l’étranger auprès du chef de l’Etat nouvellement installé », se souvient-il.

« Dans nos premiers balbutiements, nous avons pu apporter aux populations de l'arrière-pays les aides de toute nature dans les domaines tels que la culture l'éducation et la santé. Il y avait eu plusieurs centres de santé du département des plateaux qui avaient bénéficié des lits d'hôpitaux par exemple », explique Roch le Prince Okouele.

Propos recueillis par Marie Alfred Ngoma